Pont Valentré - Cahors, Midi-Pyrénées, France
N 44° 26.702 E 001° 25.908
31T E 375214 N 4922499
Legend has it that the bridge's builder made a deal with the devil to speed up the pace of construction. // Selon la légende, le constructeur de ponts a fait un accord avec le diable pour accélérer le rythme de la construction.
Waymark Code: WMWGKP
Location: Occitanie, France
Date Posted: 09/03/2017
Views: 4
[EN]
Legend has it that the bridge's builder made a deal with the devil to speed up the pace of construction.
Construction of Pont Valentré began in 1308. Its three towers would allow an army to attack an enemy from above. The bridge was finally completed in 1378 but not before the builder sold his soul to the devil who would help to get the bridge done.
However, just as the bridge was near completion, the builder did not want to live up to his part of the bargain so he gave the devil a sieve with which he would have to carry water for the final batch of mortar. The water would not hold in the sieve and so the devil could not finish the job.
In revenge of being tricked, the devil broke a stone off from the central tower’s corner and then he removed it every night after it had been replaced.
When the bridge was being restored in the late-1800s architect Paul Gout heard about this legend. Inspired, he had a stone sculpture made of the devil showing him pulling a stone from a corner of the tower. He still lurks there today and convinces the devil every night that his counterpart is doing the job.
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[FR] (Google Translate)
Selon la légende, le constructeur de ponts a fait un accord avec le diable pour accélérer le rythme de la construction.
La construction de Pont Valentré a commencé en 1308. Ses trois tours permettraient à une armée d'attaquer un ennemi d'en haut. Le pont a finalement été achevé en 1378, mais pas avant que le constructeur ne vendît son âme au diable qui aiderait à faire passer le pont.
Cependant, alors que le pont était presque achevé, le constructeur ne voulait pas vivre dans le cadre de sa négociation, alors il donna au diable un tamis avec lequel il devait porter de l'eau pour le dernier lot de mortier. L'eau ne retenait pas le tamis et le diable ne pouvait pas finir le travail.
En se vengeant d'être trompé, le diable a cassé une pierre du coin de la tour centrale, puis il l'a retiré tous les soirs après sa remontée.
Lorsque le pont a été restauré à la fin des années 1800, l'architecte Paul Gout a entendu parler de cette légende. Inspiré, il avait une sculpture en pierre faite du diable montrant qu'il tirait une pierre d'un coin de la tour. Il s'y cache encore aujourd'hui et convainc le diable chaque nuit que son homologue fait le travail.
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