Maurice Richard, Montréal,Qc
Posted by: Groundspeak Premium Member SCALAIRE
N 45° 29.759 W 073° 34.214
18T E 611710 N 5039044
Un bronze de Maurice Richard près du Centre Bell de Montréal
Waymark Code: WMD23Q
Location: Québec, Canada
Date Posted: 11/08/2011
Published By:Groundspeak Regular Member Math Teacher
Views: 62

Ce bronze de Maurice Richard a été créé par l’artiste Marc André J Fortier.
L’artiste a représenté Maurice Richard dans une pose le représentant dans une lancé vers le but adverse, remarquer le détaille de l’uniforme que porte Maurice Richard , l’uniforme du Canadien des années 40 et 50.
Cette pièce est à une échelle de 115% le bronze mesure 6 pieds 5 pouces et il repose sur un socle de 5 pieds de haut, de chaque côté du socle on y retrouve une brève biographie et sur un autre face les statistiques.
Le tous a été dévoilé le 4 décembre 2008 sur la place du centenaire du Canadien de Montréal au Centre Bell de Montréal.
3 Autres bronze tiennent compagnie a Maurice Richard , soit ceux de Jean Béliveau,Howie Morenz et Guy Lafleur.
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FIGURE EMBLÉMATIQUE DU CLUB DE HOCKEY CANADIEN, MAURICE RICHARD A EU UN IMPACT QUI A DÉBORDÉ LES FRONTIÈRES DU SPORT.
Maurice Richard a toujours prétendu qu’il n’était qu’un joueur de hockey. Personne ne partage cette opinion à propos de l’homme qui représente le cœur et l’âme de la longue et glorieuse histoire des Canadiens de Montréal.

Pendant 18 saisons mouvementées, Richard a fièrement porté les couleurs de la seule équipe qui n’ait jamais compté pour lui, ne reculant devant personne et rééditant au passage le livre des records de la LNH.

Richard était fort, déterminé et entêté. Il avait un travail à faire et il l’accomplissait mieux que quiconque, soit accumuler des points pour son équipe. À partir de la ligne bleue adverse, il était impossible à arrêter, attaquant les filets ennemis le feu dans les yeux et les emplissant de caoutchouc match après match.

Richard a connu un début de saison prometteur en 1942-1943, mais se brisa une jambe après seulement 16 rencontres. La saison suivante, certains commençaient à se demander s’il était assez solide pour résister aux rigueurs de la LNH.

Le calendrier 1943-1944 devait faire taire les critiques. Richard inscrivit 32 buts en saison régulière, un record d’équipe pour une recrue qui tient encore aujourd’hui. Il en ajouta une douzaine lors des séries alors que le Tricolore, qui ne perdit que six rencontres à partir du mois d’octobre, remporta la coupe Stanley pour la première fois en 13 ans.

Joueur le plus électrisant de sa génération, Richard remplit les arénas avec des amateurs et les filets avec des rondelles en 1944-1945. Évoluant en compagnie de Toe Blake et d’Elmer Lach au sein de la légendaire « Punch Line », il éleva les standards pour des générations de francs-tireurs en devenant le premier joueur de l’histoire du circuit à faire scintiller la lumière rouge à 50 reprises au cours d’une même campagne.

D’année en année, Richard se retrouvait parmi les meilleurs marqueurs de la ligue. À une époque où un joueur atteignait le statut de vedette lorsqu’il inscrivait 20 buts, Richard dépassa ce plateau lors de 14 années consécutives. Il marqua 30 buts ou plus à neuf reprises et plus de 40 filets en cinq occasions. Il fut nommé à 14 reprises au sein des équipes d’étoiles et mena quatre fois la ligue au chapitre des buts.

Si Richard s’inscrivait à la marque, les chances étaient bonnes pour que les dommages ne s’arrêtent pas là. Il marqua trois buts ou plus dans un match à 26 reprises et récolta huit points lors d’une seule rencontre en 1944, une marque de la LNH qui devait tenir pendant plus de 30 ans.

Les performances du Rocket en séries étaient même supérieures à son rendement en saison régulière. Plus l’enjeu était grand, mieux il jouait.

Les adversaires assignés à la couverture de Richard avaient un choix à faire s’ils espéraient freiner les élans du joueur offensif le plus dominant de son époque. Ils pouvaient soit respecter les règles et se faire battre la plupart du temps ou ils pouvaient s’en remettre à des tactiques illicites dans l’espoir que celles-ci s’avèrent plus efficaces. Aucune des deux approches ne donnait les résultats espérés sur une base régulière. Richard ne cherchait pas délibérément les problèmes et était rarement puni pour des gestes à l’endroit d’adversaires qui jouaient de façon robuste, mais propre. Ceux qui utilisaient des tactiques plus brutales comprirent rapidement que Richard était prêt à répliquer sans retenue, lui qui pouvait tenir son bout et plus dans la circulation lourde.

Alors que son étoile brillait comme jamais, celle des Canadiens de Montréal fit de même, Richard s’avérant la pierre angulaire de huit conquêtes de la coupe Stanley étalées sur trois décennies. Élu capitaine à l’aube de la campagne 1956-1957, il accomplit son rôle de meneur de la seule façon qu’il connaissait, en prêchant par l’exemple, menant les siens à quatre titres consécutifs avant d’accrocher ses patins au printemps de 1960.

Au moment de sa retraite, Maurice Richard était le meneur de la LNH avec 544 buts et 965 points en carrière en saison régulière. Ses 82 buts lors des éliminatoires représentaient également un sommet à l’époque.

Le numéro 9 que s’était approprié Maurice Richard fut retiré et élevé au plafond du Forum le 6 octobre 1960. Le Temple de la renommée du hockey passa outre la période d’attente habituelle de trois ans et Richard fit son entrée parmi les immortels dès 1961.

En 1999, la LNH présenta pour la première fois le trophée Maurice-Richard au meilleur buteur de la saison.

Le monde du hockey se retrouva en deuil suite au décès de Richard en 2000 alors que des milliers d’amateurs défilèrent devant son cercueil afin de lui rendre un dernier hommage. Il eut droit à des funérailles nationales télédiffusées, une première pour un athlète canadien.

ref: (visit link)

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This bronze Maurice Richard was created by artist Marc André J Fortier.
The artist has represented Maurice Richard in a pose in a representative launched towards the opposing goal, notice the details of the uniform worn by Maurice Richard, the Canadiens uniform for years 40 and 50.
This piece is on a scale of 115% bronze is 6 feet 5 inches and it rests on a base of 5 feet high on either side of the base it contains a brief biography and a different face statistics.
The all was unveiled on December 4, 2008 instead of the centennial of the Montreal Canadiens at the Bell Centre in Montreal.
Three other bronze maintain company Maurice Richard , those of Jean Beliveau, Howie Morenz and Guy Lafleur.
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Maurice Richard always maintained that he was nothing more than a hockey player. Few others share that opinion of the man who represents the heart and soul of the Montreal Canadiens’ long and illustrious history. For 18 brilliant seasons, Richard proudly wore the colors of the only team that ever mattered to him, taking on all opponents and rewriting the NHL record book along the way.

Richard had one job to do and he did it better than any man alive; he scored goals. He was unstoppable from the blue line in and, with eyes blazing, he single-mindedly attacked nets around the league, filling them with rubber night after night.

Richard showed promise in 1942-43, but broke his leg 16 games into the schedule. The next season, there were whispers that perhaps he wasn’t strong enough to withstand the rigors of life in the NHL.

The 1943-44 campaign silenced the critics. Richard notched 32 regular season goals before adding another dozen in the playoffs. He guided the Habs, who lost only six games from October on, as they rolled to their first Stanley Cup Championship in 13 years.

The most exciting new player to hit the NHL in a generation, Richard filled arenas with spectators with the same consistency that he filled nets with rubber in 1944-45. Playing with Toe Blake and Elmer Lach on what would famously become known as the “Punch Line”, he raised the bar for all scoring sensations to come, becoming the first NHLer to light the lamp 50 times in the same season.

Richard was consistently among the top scorers in the league. In an era when scoring 20 goals in a season turned a player into a star, Richard bettered the mark 14 consecutive years. He scored 30 or more nine times and broke the 40-goal plateau on five occasions. He was named to 14 straight All-Star teams and led the league in goals four times.

If Richard got one goal, odds were, others would follow. On 26 occasions, Richard potted three or more in the same game. In 1944, he set an NHL record that would stand for over 30 years when he scored eight points in a single game. The Rocket’s postseason play eclipsed his performances in the regular schedule; the bigger the stakes, the better he played.

Opponents assigned to shadow Richard found that they had a choice to make if they wanted to counter the game’s greatest offensive force. They could keep their efforts within the rules and get burned most of the time, or they could use prohibited tactics to try to slow down the superstar. Neither approach yielded the desired results on a regular basis.

Richard didn’t go out of his way to look for trouble and rarely took issue with men who played a tough but clean checking game. Those who chose more brutal tactics soon found out that Richard was willing to retaliate in kind, more than able to handle himself in the heavy going.

Richard’s place in the hearts of hockey fans was never more evident than late in the 1954-55 season. After being ejected for fighting against the Bruins on March 13, Richard was suspended three days later by NHL President Clarence Campbell for the remainder of the regular season and the playoffs. The controversial decision sparked an outpouring of support from enraged fans in Montreal, resulting in what came to be known as "The Richard Riot", one of the most notorious events the hockey world has ever seen.

As his personal star ascended, so did that of the Montreal Canadiens. Richard’s career formed the backbone of teams that won eight Stanley Cups in three different decades. Elected captain before the 1956-57 campaign, he led by example, driving the team to four consecutive titles before hanging up his skates in the spring of 1960.

When he left the ice for the last time, Maurice Richard did so as the NHL’s all-time scoring leader, with 544 goals and 965 points to his credit in regular season play. In the playoffs, he tallied 82 markers, amassing more goals than any player preceding him.

The Hockey Hall of Fame waived the usual three-year waiting period and immediately inducted Richard in 1961. Maurice Richard’s number “9” was retired and raised to the Forum’s rafters on October 6, 1961.

Since 1999, the NHL has awarded the Maurice Richard Trophy to the league’s leading goal scorer during the regular season.

The hockey world went into mourning upon hearing of Richard’s death in 2000, as thousands filed past his casket to pay their last respects. His nationally broadcast state funeral was the first ever accorded a Canadian athlete.
ref: (visit link)
URL of the statue: [Web Link]

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