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 Boieldieu - Le trident - Cherbourg - France Posted by:  Alfouine
N 49° 38.295 W 001° 37.374
30U E 599429 N 5499321
D’inspiration Renaissance, le théâtre à l’Italienne de Cherbourg-en-Cotentin possède une jolie façade sculptée. A l’intérieur, la salle, richement décorée, reprend la disposition des théâtres italiens en U.
Waymark Code: WM19ZM5
Location: Normandie, France
Date Posted: 05/20/2024
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Avec une scène, un parterre, des plafonds peints et des balcons. Le théâtre à l’Italienne de Cherbourg-en-Cotentin est surnommé le « Théâtre d’Or » au XIXe siècle. Il est aujourd’hui classé aux Monuments Historiques. C’est une des principales salles de spectacle de Cherbourg-en-Cotentin.
The Renaissance-inspired Théâtre à l'Italienne in Cherbourg-en-Cotentin boasts a beautifully sculpted facade. Inside, the richly decorated auditorium follows the U-shaped layout of Italian theaters, with a stage, parterre, painted ceilings and balconies. Cherbourg-en-Cotentin's Théâtre à l'Italienne was nicknamed the "Théâtre d'Or" in the 19th century. Today, it is listed as a Historic Monument. It is one of Cherbourg-en-Cotentin's main theaters.
BOIELDIEU FRANÇOIS ADRIEN (1775-1834)
Credits
Célèbre auteur d'opéras-comiques du premier quart du XIXe siècle, Boieldieu reçoit un début de formation musicale dans sa ville natale de Rouen, où dès 1793 il fait jouer, non sans succès d'ailleurs, son opéra La Fille coupable. Installé à Paris, il y fait ses débuts en 1797 avec La Famille suisse. D'autres opéras se succèdent rapidement, établissant fermement sa réputation de compositeur lyrique ; sa production purement instrumentale, qui a toujours été relativement maigre (pièces et concertos pour piano et pour harpe), cesse alors pratiquement. Après le succès du Calife de Bagdad (1800) et de Ma Tante Aurore (1803), il est nommé compositeur de la cour de Saint-Pétersbourg, où il passe huit années (1804-1812) calmes mais improductives. De retour à Paris, il donne Jean de Paris (1812), et, en 1817, succède à Méhul comme professeur de composition au Conservatoire. En 1825 est créé son chef-d'œuvre : La Dame blanche, que ses qualités musicales maintiendront de longues années au répertoire en France et en Allemagne, et qui constitue un sommet non seulement de l'opéra-comique français (dont c'est la dernière manifestation d'envergure), mais du romantisme légendaire et féerique des années 1820 (illustré également par Weber).
BOIELDIEU FRANÇOIS ADRIEN (1775-1834)
A celebrated author of opéras-comiques in the first quarter of the 19th century, Boieldieu received his early musical training in his native Rouen, where in 1793 he had his opera La Fille coupable performed, not without some success. Settling in Paris, he made his debut in 1797 with La Famille suisse. Other operas followed in quick succession, firmly establishing his reputation as a lyric composer; his purely instrumental output, which had always been relatively meagre (pieces and concertos for piano and harp), then virtually ceased. After the success of Le Calife de Bagdad (1800) and Ma Tante Aurore (1803), he was appointed court composer in St. Petersburg, where he spent eight quiet but unproductive years (1804-1812). Back in Paris, he wrote Jean de Paris (1812), and in 1817 succeeded Méhul as professor of composition at the Conservatoire. In 1825, his masterpiece was premiered: La Dame blanche, whose musical qualities would keep it in the repertoire in France and Germany for many years to come, and which was a high point not only of French opéra-comique (its last major production), but also of the legendary, fairytale romanticism of the 1820s (also illustrated by Weber).
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