Ilet à Kahouanne - Deshaies, Guadeloupe - Wikipedia Entries on Waymarking.com

"Administratively attached to the town of Deshaies, 1.5 km to the northwest. With a total area of 19.89 ha, its land part is included in the central zone of the Guadeloupe National Park. It is surrounded by cliffs and beaches and its center is occupied by a 69 m high hill. Pointe à l'îlet, an islet of 13 ares, is located a hundred meters to the east.

History
The islet, occupied by the Amerindians and then by the settlers (residue of a dwelling called Villa Claudinette), takes its name from the Loggerhead turtle, for which it was a nesting place. Green and hawksbill turtles come here to breed. Its central part (5.41 ha) is a site protected by the Conservatoire du Littoral where ecotourism is however in development.

Kahouanne welcomes a few regulars as part of traditional activities (kid breeding, camping during the holidays, hunting, fishing). Boaters were shipwrecked there in 2014.

Fauna and flora
The islet in Kahouanne is classified as ZNIEFF type 11.

Its hill is covered with a dry forest of red gum (Bursera simaruba), manchineel (Hippomane mancinella), cliff sapodilla (Morisonia americana) and frangipani (plumeria alba). The maritime border is the domain of sea grapes (Coccoloba uvifera) and an aging mangrove (Étang Bois-sec) with mangroves (Laguncularia racemosa and Conocarpus erectus) at Pointe Poirier, to the south.

The islet is home to a colony of seabirds: brown pelicans, frigatebirds and terns. Like its neighbour, Tête à l'Anglais, it is home to an endemic species of lizard, the Anolis kahouannensis. It also presents a great entomological richness with about fifty species identified in 2010, common to mainland Guadeloupe and composed mainly of beetles (twenty-two species including Chrysobothris tranquebarica and Polycesta depressa, aquatic species linked to the mangrove which are however absent from the similar Pigeon islets further south) and Lepidoptera (five species).

Goats were introduced a few decades ago. They remain after having been almost exterminated, victims of hunting."

Sources : The Islet

"Rattaché administrativement à la commune de Deshaies distante de 1,5 km au nord-ouest. D'une superficie totale de 19,89 ha, sa partie terrestre est incluse dans la zone centrale du parc national de la Guadeloupe. Il est entouré de falaises et de plages et son centre est occupé par un morne haut de 69 m. Pointe à l'îlet, un îlot de 13 ares, est situé une centaine de mètres à l'est.

Histoire
L'îlet, occupé par les Amérindiens puis par les colons (vestige d'habitation dite villa Claudinette), tire son nom de la tortue Caouanne, dont c'était un lieu de ponte. Les tortues vertes et imbriquées viennent s'y reproduire. Sa partie centrale (5,41 ha) est un site protégé par le conservatoire du littoral où l'écotourisme est toutefois en développement.

Kahouanne accueille quelques habitués dans le cadre d’activités traditionnelles (élevage de cabris, camping au moment des fêtes, chasse, pêche). Des plaisanciers y ont fait naufrage en 2014.

Faune et flore
L'îlet à Kahouanne est classé en ZNIEFF de type 11.

Son morne est recouvert d'une forêt sèche à gommier rouge (Bursera simaruba), mancenillier (Hippomane mancinella), sapotillier-falaise (Morisonia americana) et frangipanier (plumeria alba). La bordure maritime est le domaine des raisiniers bord-de-mer (Coccoloba uvifera) et d'une mangrove vieillissante (l'Étang Bois-sec) à palétuviers (Laguncularia racemosa et Conocarpus erectus) à la pointe Poirier, au sud.

L'îlet héberge une colonie d'oiseaux marins : pélicans bruns, frégates et sternes. Comme son voisin, Tête à l'Anglais, il abrite une espèce endémique de lézard, l'Anolis kahouannensis. Il présente également une grande richesse entomologique avec une cinquantaine d'espèces identifiées en 2010, communes à la Guadeloupe continentale et composées principalement de coléoptères (vingt-deux espèces dont Chrysobothris tranquebarica et Polycesta depressa, espèces aquatiques liées à la mangrove qui sont cependant absentes des similaires îlets Pigeon plus au sud) et des lépidoptères (cinq espèces).

Des chèvres ont été introduites il y a quelques décennies. Elles subsistent après avoir failli être exterminées, victimes de la chasse. "

Sources : L'Îlet