"The Saint-Sauveur church is with the church of Toussaints (the former Jesuit church) one of the great successes of classical architecture in Rennes. Entirely vaulted in stone, it is a true marvel of intelligence and intelligence. "balance, especially inside. Its architecture links it to the 17th century (Louis XIV), but its furniture is especially characteristic of the 18th century (Louis XV and Louis XVI). The 19th century brought its mark of quality, particularly through paintings and statues, while annoyingly tarnishing the freshness of the 18th century The interventions of the 20th century (notably stained glass) are more contrasted, but the conciliar choir is interesting.
The church was started in 1703, on the plans of the architect François Huguet, heir to the "clan" Corbineau. It was put into service in 1719 (choir and transept). But the fire of 1720 delayed the construction of the nave.
The facade, from 1765, is the work of François André Le Forestier. The four-poster high altar and the side altars date from 1768. The wrought-iron preaching chair by Jean Guibert dates from 1770. "
In memory of this event, we particularly honored the miraculous statue of the Blessed Virgin under the name of Notre-Dame-des-Miracles-et-Vertus. Destroyed during the Revolution, a replica occupies the chapel of the northern collateral.
A glass roof from 1874 recalls this story. Some of the other windows are due to the Barillet workshop and date from the 1960s.
"AD JESUM PER MARIAM" motto above the door which is found with the same coat of arms on a stained glass window inside. Our Lady of Miracles and Virtues saved the city and part of the church a second time by stopping the fire of the great fire of Rennes in 1720, a votive painting evokes this miracle. "
Sources : The Church
"L’église Saint-Sauveur est avec l’église de Toussaints (l’ancienne église des Jésuites) une des belles réussites de l’architecture classique à Rennes. Entièrement voûtée de pierre, c’est une véritable merveille d’intelligence et d’équilibre, surtout à l’intérieur. Son architecture la rattache au XVIIe siècle (Louis XIV), mais son mobilier est surtout caractéristique du XVIIIe siècle (Louis XV et Louis XVI). Le XIXe siècle a apporté son empreinte de qualité notamment à travers peintures et statues, tout en ternissant fâcheusement la fraîcheur du XVIIIe. Les interventions du XXe siècle (vitraux notamment) sont plus contrastées, mais le chœur conciliaire est intéressant.
L’église fut commencée en 1703, sur les plans de l’architecte François Huguet, héritier du « clan » Corbineau. Elle fut mise en service en 1719 (chœur et transept). Mais l’incendie de 1720 retarda la construction de la nef.
La façade, de 1765, est l'oeuvre de François André Le Forestier. Le maître-autel à baldaquin, ainsi que les autels latéraux datent de 1768. La chaire à prêcher en fer forgé, œuvre de Jean Guibert, date de 1770."
En souvenir de cet évènement, on honora tout particulièrement la miraculeuse statue de la Sainte Vierge sous le nom de Notre-Dame-des-Miracles-et-Vertus. Détruite à la Révolution, une réplique occupe la chapelle du collatéral nord.
Une verrière de 1874 rappelle cette histoire. Certains des autres vitraux sont dus à l'atelier Barillet et datent des années 1960.
"AD JESUM PER MARIAM" devise au dessus de la porte qui se retrouve avec le même blason sur un vitrail à l'intérieur. Notre dame des miracles et vertus sauva une seconde fois la ville et une partie de l'église en arrêtant le feu du grand incendie de Rennes de 1720, un tableau votif évoque ce miracle."
Sources : L’Eglise