In Boulogne, fish is a fundamental element, since it is the first fishing port in France. The Fresco shows that humans can eat plastic when they eat fish due to marine pollution.
It is located passage of the park not far from the economic zone of Capécure.
"This strategic place has caught the eye of Leon Keer, who works in a duet with his assistant Massina." "Before creating a work, I like to immerse myself in the history of the place, to know the people and the local traditions" says the artist from Utrecht (Netherlands) as Jan is De Man "I also like my frescoes to transmit a message In Boulogne, the fish is a fundamental element, as I am very attached to the respect of the environment, I wanted to show that the man is likely to eat plastic when he eats fish due to marine pollution.I am not there to make politics but to pass universal messages. and question people to reflect. "A work that takes shape and already has a double resonance.
Leon Keer is one of the world's leading artists of anamorphic street art, an astonishing style that creates an optical illusion or a trompe l'oeil. These unique works, often made in three dimensions, are inspired by contemporary themes or environmental concerns and raise questions about our quality of life. In addition to the optical illusion, the Dutch artist also likes to associate new technologies such as augmented reality or video mapping. For him: "Every street art work is unique. It belongs to the street and its inhabitants. Its ephemeral side strengthens its existence. Internationally known, Leon Keer's works roam the streets of Europe, the United States, Russia, Mexico, the United Arab Emirates, Australia and several Asian countries. "
Discover his universe: https://www.instagram.com/peeta_ead/
Sources : The Street Art
A Boulogne, le poisson est un élément fondamental, puisque c'est le premier port de pêche de France. La Fresque montre que l’homme risque de manger du plastique quand il mange du poisson suite à la pollution marine.
Elle est située passage du parc non loin de la zone économique de Capécure.
" Cet endroit stratégique a tapé dans l’œil de Leon Keer qui travaille en duo avec son assistante Massina. « Avant de créer une œuvre, j’aime m’imprégner de l’histoire des lieux, connaître les gens et les traditions locales » confie l’artiste originaire d’Utrecht (Pays-Bas) comme Jan is De Man. « J’aime aussi que mes fresques transmettent un message. A Boulogne, le poisson est un élément fondamental. Comme je suis très attaché au respect de l’environnement, j’ai voulu montrer que l’homme risque de manger du plastique quand il mange du poisson suite à la pollution marine. Je ne suis pas là pour faire de la politique mais passer des messages universels. Je veux interpeller sur cette problématique et questionner les gens pour apporter une réflexion. » Une œuvre qui prend forme et qui possède déjà une double résonance.
Leon Keer fait partie des plus grands artistes mondiaux de street art anamorphique, ce style étonnant qui crée une illusion d’optique ou un trompe l’œil. Ces œuvres uniques, réalisées très souvent en trois dimensions, s’inspirent des thèmes contemporains ou des préoccupations environnementales et posent des questions sur notre qualité de vie. En plus de l’illusion d’optique, l’artiste néerlandais aime également y associer les nouvelles technologies comme la réalité augmentée ou la cartographie vidéo. Pour lui : « Chaque œuvre de street art est unique. Elle appartient à la rue et à ses habitants. Son côté éphémère renforce son existence. » Internationalement connues, les œuvres de Leon Keer arpentent les rues d’Europe, des Etats-Unis, de Russie, du Mexique, des Emirats Arabes Unis, d’Australie et de plusieurs pays asiatiques. "
Découvrez son univers : https://www.instagram.com/peeta_ead/
Sources : Street-Art à Boulogne