Telepherique Brest,France
Posted by: Groundspeak Premium Member sara et gege
N 48° 23.182 W 004° 29.603
30U E 389435 N 5360321
the cable car of the city center of Brest le telepherique du centre ville de Brest
Waymark Code: WMY8WM
Location: Bretagne, France
Date Posted: 05/12/2018
Published By:Groundspeak Regular Member Where's George
Views: 6

source Liberation:
In Brest, the cable car is thundering. After two weeks of stop for inspection, the line stretched between the right bank and the left bank of the city Finistere is accessible again since Friday noon. The end, a priori, of a long series of flops and gags since the inauguration in November 2016: power failure and technician who fails to be "grinded" the day before entry into service, passenger injured cervical during a sudden stoppage in January 2017 and, finally, the stall of one of the two cabins during maintenance work in August 2017.
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No one had been injured this time but the maintenance officer had been hanging on his harness, the basket shattered three meters below. "We were still running," says Keolis, who operates the line on behalf of Brest Metropolis (208,000 inhabitants). The population has never panicked: some jokers have even introduced the cable car into the popular culture of the area, requiring the creation of a ski school in Brest or filming a James Bond. Meanwhile, the influx climbs beyond expectations to reach probably one million users next June.

Thanks to the two cabins, called "Charlotte" and "Lewin". The first urban cable car in France (outside the mountain area) has already succeeded in sewing a city cut in two for centuries. It takes barely three minutes and € 1.50 to join the shopping street of Siam Street (left bank) and the old arsenal of Capuchin (right bank). Against twenty to thirty minutes before 2016. Or an eternity: some elders of the right bank have, they say, never set foot right side. The Penfeld, which flows between the two and throws itself into the harbor of Brest, was a tight border. Separator of two cities: one speaking Breton and sheltering several religious congregations (on the right), the other regrouping the administrations and causing French (on the left).
Grandiose balcony

"In the old days, people on the right bank risked their lives to fetch an administrative document on the left bank," says a resident for Libération. Boat smugglers were often drunk and capsized. So people stayed at home. They only left the left bank in ambulance or in the salad basket when they were too drunk ... "The three bridges built on the river have not managed to get the Capuchins out of their isolation: two of the works are located too far north from the city, the other, the bridge Recouvrance, opened in 1954, was hostile to pedestrians (because of the retro shots of buses). Brest found the solution with its cable car. Elected representatives from other regions come to visit the facilities in order to launch their own line. Orleans and Toulouse hold the rope to build their aerial network and Brest hesitates to put a second cable, more upstream on the course of Penfeld.

Read also The cable car holds the rope

The gondola version Breton does not reach the Alps but the ocean. "This is a success for us," says Yohann Nédélec, vice president of Brest Métropole in charge of transport. The cable car helps us redraw the agglomeration in a plan to reconquer the seafront. "The urban project consists of facilitating public access to the commercial port, located on the left bank, by bus, tram and two Urban lifts that should be operational by 2020 - the city is not only divided in two, it is very divided over its port basins and presents an unexpected relief, binding for walkers.

It's also a way to put your eyes on it. Stronger than the tram, equipment fashionable everywhere in France, the cable car offers a grand balcony on the urban heritage and the natural setting. In Brest: the harbor, the military base and the former arsenal of the Capuchins. The workshops have been converted into a place of exceptional life, with media library, restaurants, inevitable co-working spaces but above all, unheard of luxury, empty spaces in the naves, huge and free. Quickly filled with picnics, children's games and piano notes - a keyboard has been stored as in the train stations and we surprise a Tuesday lunch for college sandwiches play the Letter to Elise or Yann Tiersen.

The cable car reminds the historic, popular and dilapidated center of Brest that it will not be abandoned. The city wants to "recreate a bubble of air" in the Capuchins and the district of Recouvrance, renovating social housing and promoting homeownership. Leave to gentrify the place? Two minutes from the former arsenal, rue Saint-Malo, flower boxes and stone houses, excites private developers and public authorities who bought the houses. The asso Living the street has been fighting since 1990


source Liberation :
A Brest, le téléphérique marche du tonnerre. Après deux semaines d’arrêt pour cause d’inspection, la ligne tendue entre la rive droite et la rive gauche de la cité finistérienne est de nouveau accessible depuis vendredi midi. La fin, a priori, d’une longue série de flops et de gags depuis l’inauguration en novembre 2016 : panne électrique et technicien qui manque de se faire «broyer» la veille de l’entrée en service, passagère blessée aux cervicales lors d’un arrêt trop brusque en janvier 2017 et, enfin, décrochage de l’une des deux cabines durant des travaux de maintenance, en août 2017.
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Nul n’avait été accidenté cette fois-là mais l’agent d’entretien s’était retrouvé pendouillant à son harnais, la nacelle fracassée trois mètres en contrebas. «Nous étions encore en rodage», plaide Keolis, qui exploite la ligne pour le compte de Brest métropole (208 000 habitants). La population n’a d’ailleurs jamais cédé à la panique : certains plaisantins ont même fait entrer le téléphérique dans la culture populaire des environs, exigeant la création d’une école de ski à Brest ou le tournage d’un James Bond. Pendant ce temps, l’affluence grimpe au-delà des prévisions pour atteindre vraisemblablement le million d’usagers en juin prochain.

Merci aux deux cabines, appelées «Charlotte» et «Lewin». Le premier téléphérique urbain de France (hors zone de montagne) a déjà réussi à recoudre une cité coupée en deux depuis des siècles. Il faut désormais à peine trois minutes et 1,50 € pour joindre l’artère commerçante de la rue de Siam (rive gauche) et l’ancien arsenal des Capucins (rive droite). Contre vingt à trente minutes avant 2016. Ou une éternité : certains anciens de la berge droite n’ont, dit-on, jamais mis les pieds côté droit. La Penfeld, qui coule entre les deux et se jette en rade de Brest, fut une frontière étanche. Séparatrice de deux villes : l’une parlant le breton et abritant de plusieurs congrégations religieuses (à droite), l’autre regroupant les administrations et causant le français (à gauche).
Balcon grandiose

«Autrefois, les habitants de rive droite risquaient leur vie pour aller chercher un document administratif rive gauche, retrace une habitante pour Libération. Les passeurs en barque étaient souvent ivres et chaviraient. Alors, les gens restaient chez eux. Ils ne partaient rive gauche qu’en ambulance ou dans le panier à salade quand ils étaient trop saouls…» Les trois ponts bâtis sur la rivière n’ont pas réussi à sortir les Capucins de leur isolement : deux des ouvrages sont localisés trop au nord de la ville, l’autre, le pont de la Recouvrance, ouvert en 1954, était hostile aux piétons (à cause des coups de rétro des bus notamment). Brest a trouvé la solution avec son téléphérique. Les élus d’autres régions viennent visiter les installations en vue de lancer leur propre ligne. Orléans et Toulouse tiennent la corde pour construire leur réseau aérien et Brest hésite à poser un deuxième câble, plus en amont sur le cours de la Penfeld.

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La télécabine version bretonne ne permet pas d’atteindre les Alpes mais l’océan. «C’est pour nous une réussite, explique Yohann Nédélec, vice-président de Brest métropole en charge des transports. Le téléphérique nous aide à redessiner l’agglomération dans un plan de reconquête de la façade maritime.» Le projet urbain consiste en effet à faciliter l’accès du public au port de commerce, situé rive gauche, via le bus, le tram et deux ascenseurs urbains qui devraient être opérationnels d’ici à 2020 – la ville n’est pas seulement partagée en deux, elle est très découpée au fil de ses bassins portuaires et présente un inattendu relief, contraignant pour les marcheurs.

C’est aussi une manière d’en mettre plein les yeux. Plus fort que le tram, équipement à la mode partout dans l’Hexagone, le téléphérique offre un balcon grandiose sur le patrimoine urbain et le cadre naturel. A Brest : la rade, la base militaire et l’ex-arsenal des Capucins. Les ateliers ont été reconvertis en un lieu de vie exceptionnel, avec médiathèque, restaurants, inévitables espaces de co-working mais surtout, luxe inouï, des espaces vides dans les nefs, immenses et gratuits. Vite remplis en pique-niques, jeux d’enfants et notes de piano – un clavier a été entreposé comme dans les gares et on surprend un mardi midi des collégiens en pause sandwich jouer la Lettre à Elise ou du Yann Tiersen.

Le téléphérique rappelle au centre historique, populaire et délabré de Brest qu’il ne sera pas à l’abandon. La métropole souhaite en effet «recréer une bulle d’air» aux Capucins et dans le quartier de Recouvrance, en rénovant le logement social et favorisant l’accession à la propriété. Quitte à gentrifier les lieux ? A deux minutes de l’ex-arsenal, la rue Saint-Malo, bacs à fleurs et maisons de pierres, excite les promoteurs privés et pouvoirs publics qui ont racheté les maisons. L’asso Vivre la rue se bat depuis 1990 pour sauver cette venelle, unique rescapée des bombardements de 1944. «Le téléphérique est une bonne chose», estime l’association, «toujours inquiète» cependant. Elle rêve d’ateliers d’artistes, cafés, restos, fêtes et lieux d’accueil pour les exclus, entre autres projets et expérimentations qui font de ce quartier de la rive droite, dans une ville qui pimpe son béton et brique son port, une petite ZAD.

Liberation : (visit link)
The "Official Tourism" URL link to the attraction: [Web Link]

The attraction’s own URL: [Web Link]

Hours of Operation:
du lundi de 11h à 20h, du mardi au samedi de 7h30 à 20h00 et le dimanche de 8h30 à 19h. Il propose un départ toutes les 5 minutes en heures de pointe, pour relier le quartier des Capucins (station Ateliers) au bas de la rue de Siam (station Jean Moulin), près de la station de tram "Château".


Admission Prices:
1.5 €uros pour une heure


Approximate amount of time needed to fully experience the attraction: Less than 15 minutes

Transportation options to the attraction: Personal Vehicle or Public Transportation

Visit Instructions:

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