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 La tour carrée - Strasbourg, France Posted by:  pmaupin
N 48° 34.619 E 007° 44.976
32U E 407771 N 5381187
[EN] The square tower facing the "Grieneck" is mentioned since 1302, it belongs to the thirteenth century.
[FR] La tour carrée qui s' élève en face du "Grieneck" est mentionnée dès 1302, elle appartient à l'enceinte du XIIIe siècle.
Waymark Code: WMX6PF
Location: Grand-Est, France
Date Posted: 12/04/2017
Views: 4
 The square tower facing the "Grieneck" is mentioned as early as 1302; it belonged then to the knight Rulenderlin and later to the knight Thomas Hogier. Next to the tower, a building which contained an oratory was intended, in 1303, to receive a community of sacrile Beguines. The tower, having subsequently become the property of the City, was sold in 1774 to an individual.
At the time of the War of 1870, the upper floor housed an artists' studio, among which we find the name of Felix Haffner (1818-1875). He had left Alsace after the events of 1870; his workshop was later occupied by a group of young amateurs, then passed successively to the painters Gaston Save, Adolphe Grison, Charles Hochstuhl and Lothar von Seebach born 26/03/1853 in Fessenbach (Ortenau), died on 23/09/1930 in Strasbourg.
From 1880 to 1930, establishment in the workshop at 9, place de l 'Hôpital. Opening of his school of painting, whose quality of teaching is very appreciated and assures him a reputation exceeding the confines of the region. For half a century, this private academy provides a large part of the training of the younger generations of Alsatian and Baden artists. It will be the meeting place for artists and art lovers of the region. Beginning of his reputation as Bluememohler (flower painter)
At the end of 1923, Dr. Jules Jaeger, a friend from Strasbourg, paid a visit to Lothar von Seebach and encouraged him to return to Strasbourg, his former place of business. The artist then withdraws completely into a kind of "internal emigration", without leaving his studio for the last seven years of his life, enjoying the attention and care of his students and friends.
The ground floor of the adjoining house which formed a link between the workshop and the high tower of the hospital, contained a small inn held before 1870 by a worthy fruiter, Mother Wendenbaum, and frequented by carabins. , between two lessons of the Faculty. The happy customers, children of the south, had transformed the Gothic name of the debitante into "Mother Sells Apples".
Sources : The Tower
 La tour carrée qui s' élève en face du "Grieneck" est mentionnée dès 1302; elle appartenait alors au chevalier Rulenderlin et plus tard au chevalier Thomas Hogier. A coté de la tour, un bâtiment qui renfermait un oratoire fut destiné, en 1303, à recevoir une communauté de béguines saccites. La tour, étant devenue par la suite propriété de la Ville, fut vendue, en 1774, à un particulier.
Au moment de la guerre de 1870, l'étage supérieur a abrité un atelier d'artistes, parmi lesquels on relève le nom de Félix Haffner (1818-1875). Il avait quitté l' Alsace après les événements de 1870; son atelier fut occupé ensuite par un groupe de jeunes amateurs, puis il passa successivement aux peintres Gaston Save, Adolphe Grison, Charles Hochstuhl et Lothar von Seebach né le 26/03/1853 à Fessenbach (Ortenau), décédé le 23/09/1930 à Strasbourg.
De 1880 à 1930, établissement dans l' atelier au 9, place de l' Hôpital. Ouverture de son école de peinture, dont la qualité de l' enseignement est très apprécié et lui assure une renommée dépassant les confins de la région. Durant un demi-siècle, cette académie privée dispense une grande part de la formation des jeunes générations d' artistes alsaciens et badois. Elle sera le lieu de rencontre des artistes et amateurs d' art de la région. Début de sa réputation comme Bluememohler (peintre de fleurs)
Fin 1923, le Dr. Jules Jaeger un ami strasbourgeois, rend visite à Lothar von Seebach et l' incite à revenir à Strasbourg, dans son ancien lieu d' activité. L' artiste se retire alors totalement dans une sorte d' "émigration intérieure", sans plus guère quitter son atelier durant les sept dernières années de sa vie, bénéficiant de l' attention et des soins de ses élèves et amis.
Le rez-de chaussée de la maison attenante qui formait un trait d' union entre l' atelier et la haute tour de l' hôpital, renfermait une petite auberge tenue avant 1870 par une brave fruitière, la mère Wendenbaum, et fréquentée par les carabins, entre deux leçons de la Faculté. Les joyeux clients, enfants du midi, avaient transformé le nom gothique de la débitante en "Mère Vend des pommes".
Sources : Le Tour
Visit Instructions:
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