The sign of Antoine's bistro hangs a magnificent wrought iron ornament, it is a metallic round on a yellow background with a woman in folk costume holding in her hands a frying pan with a long handle.
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"Le Bistrot d’Antoine est le pari un peu fou d’un épicurien, né à Péronne, Thierry Ferrigno. Après avoir travaillé vingt ans dans l’imprimerie, il se consacre à son autre passion, la gastronomie. En 2004, à la quarantaine, il trouve son lieu, une ancienne agence de voyagiste, et le transforme en brasserie. « Nous sommes partis de zéro pour monter ce Bistrot d’Antoine, du nom de notre premier cuisinier qui nous a quitté depuis. Péronne est une ville étape mais également touristique car on y célèbre la mémoire de guerre. Nous accueillons des touristes britanniques, australiens, hollandais, … » Particulièrement bien situé à Péronne, sur une petite place du centre ville qui fait face au château abritant l’Historial de la Grande Guerre, Le Bistrot d’Antoine est ouvert du mardi au samedi, de 12h à 14h30 et de 19h à 21h30. En hiver, il assure une moyenne de 120 repas jour et en été, grâce à la terrasse il peut accueillir 60 couverts de plus. Le ticket moyen est d’environ 29 euros. Dans la formule qui change tous les jours, deux entrées, trois plats et des desserts au choix.
restaurant le Bistrot d'Antoine
A la carte, une cuisine française généreuse et des spécialités locales comme la tête de veau « avec une touche de Méditerranée due à mes racines familiales, entre Italie, Algérie et Ibiza. » Et parmi les deux ou trois plats phares de la maison, Thierry Ferrigno avoue une petite préférence pour la carbonade de boeuf à la Flamande, « une cuisson longue à la bière et à notre manière. » Et le gourmand qu’il est, côté dessert, n’hésite pas à recommander les « profiteroles avec de gros choux et de la vraie Chantilly. Aujourd’hui, trois chefs travaillent avec nous, et bon an mal an, onze personnes officient dans le restaurant. Il est essentiel d’exploiter nos différences pour s’enrichir mutuellement. Nous nous parlons librement et ils savent que je suis plus attaché à la qualité d’un produit qu’à son prix. Plus d’une fois il m’arrive de passer derrière les fourneaux. »
Essentielle aussi pour lui la carte des vins qui n’affiche pas moins de 90 références majoritairement françaises. « Depuis plus de 20 ans, je fais partie d’un club d’oenologie. Mon grand plaisir est de découvrir un vin en Auvergne, par exemple. » S’il n’est pas né dans une marmite, Thierry Ferrigno, n’en sait pas moins ce qu’il veut et ce qu’il ne veut pas à sa carte, et ne se gêne pas pour ajouter son grain de sel en cuisine car il aime les bonnes choses."
"Le Bistrot d'Antoine" is the crazy bet of an epicurean, born in Péronne, Thierry Ferrigno. After twenty years working in the printing industry, he devotes himself to his other passion, gastronomy. In 2004, in his forties, he found his place, a former tour operator agency, and transformed it into a brewery. "We started from scratch to set up this Bistrot d'Antoine, named after our first cook who has since left us. Péronne is a stopover town but also a tourist town because the war memory is celebrated there. We welcome British, Australian, Dutch tourists, ...". Particularly well located in Péronne, on a small square in the city center facing the castle housing the Historical Museum of the Great War, Le Bistrot d'Antoine is open from Tuesday to Saturday, from 12h to 14h30 and from 19h to 21h30. In winter, it provides an average of 120 meals a day and in summer, thanks to the terrace, it can accommodate 60 more covers. The average ticket is about 29 euros. The formula, which changes every day, includes two starters, three courses and a choice of desserts.
restaurant le Bistrot d'Antoine
A la carte, generous French cuisine and local specialties such as calf's head" with a touch of the Mediterranean due to my family roots, between Italy, Algeria and Ibiza. "And among the two or three flagship dishes of the house, Thierry Ferrigno admits a small preference for the Flemish beef carbonade, "a long cooking with beer and in our own way. "And the gourmet that he is, as far as dessert is concerned, doesn't hesitate to recommend the "profiteroles with big cabbage and real Chantilly. Today, three chefs work with us, and year after year, eleven people work in the restaurant. It is essential to exploit our differences to enrich each other. We speak freely and they know that I am more attached to the quality of a product than to its price. More than once I get behind the stove. »
The wine list is also essential for him, with no less than 90 mainly French wines. "I have been a member of an oenology club for more than 20 years. My great pleasure is to discover a wine in Auvergne, for example. "Thierry Ferrigno was not born in a cauldron, but he knows what he wants and what he doesn't want on his menu, and he doesn't hesitate to add his grain of salt in the kitchen because he likes good things.
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