"It was the Duchess Louise-Marie de Gonzague, future queen of Poland, who laid the first stone, in June 1639. The work was completed in 1649. Of this monastery, it remains today only the chapel.
The convent of the Nevers visitandines is the seventh foundation of the Order of the Visitation Sainte-Marie created in 1610 in Annecy by François de Sales and Jeanne de Chantal.
This establishment is the work of Vincent Bouzitat, bourgeois of Nevers, whose two girls wanted to devote themselves to God. He received the help of Monsieur de Chateau-Renaud, Baron de Langes, and the assent of Duke Charles de Gonzague and Bishop Eustache du Lys.
On July 13, 1620, the aldermen of Nevers authorized the visitandines to settle in the rue Saint-Martin, in three houses bought for this purpose a large garden extending to the ramparts of the city.
From this monastery, there remains today only the chapel and a spiritual and satirical poem written in 1734 by Jean-Baptiste Gresset, Ver-Vert, or the Travels of the parrot of the Visitation of Nevers. The nuns are now installed in the monastery of the Visitation located 49 road Saulaies Nevers.
The chapel of this former monastery has a facade with an astonishing Baroque style, unique in Nivernais, and rare in France. It is the subject of a classification under the Monuments historiques. "
Sources : The Church
" C’est la duchesse Louise-Marie de Gonzague, future reine de Pologne, qui en posa la première pierre, en juin 1639. Les travaux s’achevèrent en 1649. De ce monastère, il ne reste aujourd’hui que la chapelle.
Le couvent des visitandines de Nevers est la septième fondation de l'ordre de la Visitation Sainte-Marie créé en 1610 à Annecy par François de Sales et Jeanne de Chantal.
Cet établissement est l'œuvre de Vincent Bouzitat, bourgeois de Nevers, dont les deux filles désiraient se consacrer à Dieu. Il reçut l'aide de Monsieur de Château-Renaud, baron de Langes, et l'assentiment du duc Charles de Gonzague et de l'évêque Eustache du Lys.
Le 13 juillet 1620, les échevins de Nevers autorisaient les visitandines à s'établir rue Saint-Martin, dans trois maisons achetées à cet effet un grand jardin s'étendant jusqu'aux remparts de la ville.
De ce monastère, il ne reste aujourd'hui que la chapelle et un poème spirituel et satirique écrit en 1734 par Jean-Baptiste Gresset, Ver-Vert, ou les Voyages du perroquet de la Visitation de Nevers. Les religieuses sont désormais installées dans le monastère de la Visitation situé 49 route des Saulaies à Nevers.
La chapelle de cet ancien monastère bénéficie d'une façade présentant un étonnant style baroque, unique en Nivernais, et rare en France. Elle fait l'objet d'un classement au titre des Monuments historiques. "
Sources : L’Eglise