From this building built between 1082 and 1120 today the transept and choir of Romanesque style survive. On the facade one reads "Hie Domus Dei" (here is the house of God).
This old part has walls outside in small archaic apparatus (cubic Roman rubble stones, scattered bricks and rows of intercalated bricks of Roman origin).
In 1548 Locmariaquer was destroyed by the English fleet. The church suffered damage. XVIIth century: Reworking of the nave.
The south gate is protected by a porch in front of which the wooden ceiling was removed in 1988 which left appearing in escutcheon bearing the words "Hace Porta Coelli" (here is the gate of heaven).
Near the southern entrance is a beautiful granite font, decorated with foliage and grapes, enclosed in the wall; It dates back to the 15th century and is classified.
The interior of the church has the greatest interest in its Romanesque part: transept and apse were inscribed in the supplementary inventory of Historic Monuments by decree of 24 April 1925.
Sources : The Church
De cet édifice construit entre 1082 et 1120 subsistent aujourd’hui le transept et le choeur de style roman. Sur la façade on lit “Hie Domus Dei” (ici est la maison de Dieu).
Cette partie ancienne présente à l’extérieur des murs en petit appareil archaïque (moellons Romains cubiques, briques éparses et rangées de briques intercalés d’origine romaine).
En 1548 Locmariaquer est détruit par la flotte anglaise. L'église subit des dommages. XVIIe siècle: Remaniement de la nef.
La porte sud est protégée par un porche en avancée dont le plafond de bois a été supprimée en 1988 ce qui a laissé apparaître en écusson portant les mots “Hace Porta Coelli” (ici est la porte du ciel).
Près de l’entrée sud, se trouve, inclus dans le mur, un superbe bénitier de granit orné de feuillages et de raisins ; il remonte au 15ème siècle et est classé.
L’intérieur de l’église présente le plus grand intérêt dans sa partie romane : transept et abside ont été inscrits à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques par arrêté du 24 avril 1925.
Sources : L’Eglise