The Prison Cell of Ludger Sylbaris - Saint-Pierre, Martinique - Roadside Attractions on Waymarking.com

"The initial project for the prison dates from 1839. It is directly linked to the preparation for the Abolition of slavery, but the actual construction only dates from 1851.

In this building were detained only the defendants and those sentenced to one month in prison maximum.

The dungeon of Cyparis is situated in the middle of the still visible ruins of the ancient city of Saint Pierre completely destroyed by the eruption of Mountain Pelee.

It is here that Louis-Auguste Cyparis survived, protected by the thick walls of his dungeon, at the terrible passage of the fiery cloud on the morning of May 8, 1902.

It is only three days after the disaster that it is rescued, partly burnt and dehydrated. Hired as a beast by the Circus Barnum in the United States he ended his life in the most total misery in Panama in 1929.

Contrary to popular belief, he is not the only survivor of the disaster: A coordinator named Léon Compère, in his cellar at the time of the eruption, escaped as well as some sailors of the boats that were stationed in the bay, all Terribly burned."

Sources : The Dungeon

" Le projet initial de la prison date de 1839. Il est directement lié à la préparation de l'Abollition de l'esclavage, mais la construction effective ne date que de 1851.

Dans cet édifice n'étaient détenus que les prevenus et les condamnés à un mois de prison maximun.

Le cachot de Cyparis est situé au milieu des ruines encore visibles de l'ancienne ville de Saint Pierre entièrement détruite par l'éruption de la Montagne Pelée.

C'est ici que Louis-Auguste Cyparis survécu, protégé par les épais murs de son cachot, au terrible passage de la nuée ardente le 8 mai 1902 au matin.

Ce n'est que trois jours après la catastrophe qu'il est secouru, en partie brulé et déshydraté. Embauché comme bête de foire par le Cirque Barnum aux Etats Unis il finit sa vie dans la misère la plus totale au Panama en 1929.

Contrairement aux idées reçues il n'est pas le seul survivant de la catastrophe: Un coordonnier du nom de Léon Compère, dans sa cave au moment de l'éruption, en réchappe ainsi que quelques marins des bateaux qui stationnaient dans la baie, tous étant terriblement brulés."

Sources : Le Cachot