Elles ont été offertes à la paroisse par le député de l’arrondissement, en 1865.Le « Saint-Pierre « est en ronde bosse, d’une hauteur de deux mètres environ. Le Saint-Paul ressemble étroitement à celui du Sacré Cœur d’Amiens réalisé en 1867.
The two statues of St. Peter and St. Paul are carved inside the buttresses on the western façade of the church of St. John the Baptist.
They were donated to the parish by the deputy of the borough in 1865. The "Saint-Pierre" is in a round hump, about two meters high. The Saint-Paul closely resembles that of the Sacré Coeur d'Amiens made in 1867.
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"Érigée à l'emplacement d'une petite chapelle qui existait déjà en 1101, l'église Saint-Jean-Baptiste de Péronne, a été construite en pierre calcaire de 1509 à 1525 ; le clocher fut édifié en 1540.
En 1632, fut fondée une confrérie du Mont-Carmel qui avait son siège dans l'église.
À la Révolution française, la loi stipulait qu'il ne devait y avoir qu'une seule église paroissiale par commune, c'est ainsi qu'à Péronne, seule l'église Saint-Jean-Baptiste subsista. Fermée pendant la Terreur, elle fut rendue au culte sous le Directoire, en 1795. La restauration de l'édifice fut achevée en 1829.
L'église posséda au xixe siècle plusieurs tableaux du peintre péronnais Charles-Henri Michel : en 1847, la fabrique de l'église acheta son tableau, La compassion de la Vierge ; en 1854, il peignit pour l'église Le Baptême du Christ par Saint-Jean et, en 1859, l'État acheta au peintre Le Crucifiement et le mit en dépôt à l'église.
Pendant le siège de Péronne au cours de la guerre de 1870, l'église fut partiellement détruite par le feu prussien en 1870.
Le 25 septembre 1901, les grilles en fer forgé du chœur datant du xviiie siècle furent classées monument historique. Elles provenaient d’un don effectué en 1775 par un lieutenant criminel du bailliage de Péronne. L'église dans son ensemble est protégée au titre des monuments historiques : classement par arrêté du 13 décembre 1907. Deux tableaux, une peinture murale du xvie siècle, et deux retables furent également classés au titre d'objet."
"Erected on the site of a small chapel that already existed in 1101, the church of Saint-Jean-Baptiste de Péronne, was built in limestone from 1509 to 1525; the bell tower was built in 1540.
In 1632, a brotherhood of Mont-Carmel was founded and had its headquarters in the church.
During the French Revolution, the law stipulated that there should be only one parish church per commune, so in Péronne, only the church of Saint-Jean-Baptiste remained. Closed during the Terror, it was given back to worship under the Directoire in 1795. The restoration of the building was completed in 1829.
In the 19th century, the church owned several paintings by the Peronese painter Charles-Henri Michel: in 1847, the church factory bought his painting, The Compassion of the Virgin; in 1854, he painted for the church The Baptism of Christ by St. John and, in 1859, the State bought the painter The Crucifixion and put it on deposit in the church.
During the siege of Peronne in the war of 1870, the church was partially destroyed by Prussian fire in 1870.
On September 25, 1901, the wrought iron gates of the choir dating from the 18th century were classified as a historical monument. They came from a donation made in 1775 by a criminal lieutenant of the bailiwick of Péronne. The church as a whole is protected as a historical monument: classification by decree of December 13, 1907. Two paintings, a mural from the 16th century, and two altarpieces were also classified as objects".
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"Pierre (saint Pierre pour les catholiques et les orthodoxes), de son vrai nom Simon Bar-Jona (« Simon, fils de Jonas ») selon le témoignage des Évangiles, aussi appelé Kephas (« le roc » en araméen) ou Simon-Pierre, est un Juif de Galilée ou de Gaulanitide connu pour avoir été l'un des disciples de Jésus de Nazareth. Il est répertorié parmi les apôtres, au sein desquels il semble avoir tenu une position privilégiée du vivant même de Jésus avant de devenir, après la mort de ce dernier, l’un des dirigeants majeurs des premières communautés paléochrétiennes. Il est né vraisemblablement au tournant du ier siècle av. J.-C. et serait mort selon la tradition chrétienne vers 64-68 à Rome. La plupart des historiens soulignent le caractère très incertain de la date et des circonstances de sa mort et doutent de la pertinence du lieu traditionnellement retenu pour son exécution.
La tradition catholique en fait le « Prince des Apôtres », le premier évêque de Rome et l'Église catholique revendique sa succession apostolique pour affirmer une primauté pontificale — que lui contestent les autres confessions au sein de la chrétienté — et dont l'actuel pape est le représentant1.
Il a suscité un grand nombre d'œuvres artistiques, en particulier dans l'Occident latin."
"Saint Peter (r. AD 30; died between AD 64 and 68) also known as Simon Peter, Simeon, Simon, Cephas, or Peter the Apostle, was one of the Twelve Apostles of Jesus Christ, and one of the first leaders of the early Church.
According to Christian tradition, Peter was crucified in Rome under Emperor Nero. He is traditionally counted as the first bishop of Rome?—?or pope?—?and also by Eastern Christian tradition as the first patriarch of Antioch. The ancient Christian churches all venerate Peter as a major saint and as the founder of the Church of Antioch and the Diocese of Rome, but differ in their attitudes regarding the authority of his successors. According to Catholic teaching, in Matthew 16 (Matthew 16:18) Jesus promised Peter a special position in the Church.
In the New Testament, Peter appears repeatedly and prominently in all four gospels as well as the Acts of the Apostles. The Gospel of Mark in particular was traditionally thought to show the influence of Peter's preaching and eyewitness memories. He is also mentioned, under either the name Peter or Cephas, in Paul's First Letter to the Corinthians and the Epistle to the Galatians. The New Testament also includes two general epistles, First Peter and Second Peter, that are traditionally attributed to him, but modern scholarship generally rejects the Petrine authorship of both.
Outside of the New Testament, several apocryphal books were later attributed to him, in particular the Acts of Peter, Gospel of Peter, Preaching of Peter, Apocalypse of Peter, and Judgment of Peter"