Dans les pas de l'artiste Mifamosa, qui redécore les rues d'Orléans avec de la mosaïque - France
Posted by: Groundspeak Premium Member Alfouine
N 47° 54.025 E 001° 54.760
31T E 418733 N 5305804
Au dessus du panneau de la rue de la fauconnerie, un mosaïque représentant un faucon. Above the falconry street panel, a mosaic representing a falcon.
Waymark Code: WM11TFW
Location: Centre-Val-de-Loire, France
Date Posted: 12/16/2019
Published By:Groundspeak Premium Member saopaulo1
Views: 3

Credits : (visit link)

"Depuis cet été, les noms des rues orléanaises ont pris un coup de jeune, grâce aux œuvres du street artiste Mifamosa. La République du Centre vous propose deux parcours, à pied ou à vélo, afin de les découvrir.
« Ça m’est venu comme ça. Et puis, l’histoire est devenue virale ». Mifamosa, en toute humilité, mesure difficilement son talent. Celui qui peint depuis quatre ou cinq ans pour répondre à ses propres envies artistiques s’est attelé à un tout autre chantier, il y a quelques semaines.

Un bourdon blanc dans la rue éponyme
Les premiers à découvrir ce nouveau projet ont été les Orléanais, qui, en sortant de chez eux ou en passant par hasard dans une ruelle du centre-ville, se sont rendu compte que les plaques de rues avaient changé. En regardant de plus près, une mosaïque était née au dessus, en dessous ou à côté, illustrant avec humour et subtilité le nom de la rue. Rues « des bouteilles », « de l’Ange », « du Bourdon-blanc » ou encore « des Africains », la première et la plus symbolique pour l’artiste, passionné de culture africaine.

Ce mystérieux artiste s’est fait connaître sous le pseudonyme de Mifamosa sur les réseaux sociaux. En récupérant des émaux de Briare, il s’est lancé. « Après les premières rues, j’ai commencé à recevoir des réactions des internautes. Certains m’ont même soumis des idées », raconte Mifamosa, dont la véritable identité reste secrète, selon sa volonté. L'artiste indique par exemple avoir eu « une grosse pression pour la rue de la Chèvre qui danse », attendue par bon nombre d’Orléanais.

S’amuser en amusant les Orléanais
Sans avoir la prétention d’en vivre, le jeune homme se prête au jeu. Déjà 30 plaques ont été relookées.

Quand il se met à l’ouvrage, il est entouré de quelques copains pour l’assister dans sa mission nocturne. L'artiste de rue agit généralement à l’abri des regards. Car sur un espace privé ou public, le street art n’est toujours pas légal… Une question qui préoccupe un peu Mifamosa, dont l’intérêt est loin de l’essence même du street art, ni du vandalisme.

Je ne suis pas rattaché au microcosme d’artistes actifs dans le milieu orléanais.

En effet, son objectif reste simple : s’amuser et amuser les Orléanais. Et il a pu constater à plusieurs reprises que l’opération était réussie. Incognito, il surprend parfois des conversations d’observateurs. Toutes générations confondues, la réaction est unanime. « C’est chouette », entend-il, quasiment systématiquement.

Orléans est en avance par rapport à d’autres villes.

« La mosaïque a un côté plus attrayant qu’une peinture sur un mur. Et en plein soleil, esthétiquement, ça ressort mieux ». Mifamosa s’est rendu compte de l’impact « grand public » de ses œuvres sauvages. Mais surtout de l’indulgence et la réception des Orléanais.

Lui qui n’est pas originaire de la cité johannique possède un regard positif sur l’ouverture culturelle de la ville. « J’ai passé des vacances à Montpellier, en étant particulièrement attentif aux initiatives de street art. En revenant, je me suis dit qu’Orléans était peut-être en avance par rapport à d’autres métropoles dans ce domaine ».

Un bon point pour le jeune artiste orléanais qui continuera, dans les prochaines semaines, de faire sourire les passants à chaque coin de rue.

Anaïs Rambaud"

"Since this summer, the names of the streets of Orléans have been revived, thanks to the works of the street artist Mifamosa. The Republic of the Centre offers you two routes, on foot or by bike, to discover them.
"It just came to me. And then the story became viral. Mifamosa, in all humility, has difficulty measuring his talent. The one who has been painting for four or five years to satisfy his own artistic desires set about working on a completely different project a few weeks ago.

A white bumblebee in the eponymous street
The first to discover this new project were the Orleans, who, leaving their homes or passing by accident in an alley in the city centre, realised that the street signs had changed. On closer inspection, a mosaic was created above, below or next to it, illustrating with humour and subtlety the name of the street. Rues "des bouteilles", "de l'Ange", "du Bourdon-blanc" or "des Africains", the first and most symbolic street for the artist, passionate about African culture.

This mysterious artist has made a name for himself under the pseudonym Mifamosa on social networks. When he got some of Briare's enamels, he went for it. "After the first few streets, I started receiving feedback from Internet users. Some even submitted ideas to me," says Mifamosa, whose true identity remains secret, according to his will. For example, the artist says he had "a lot of pressure for the rue de la Chèvre qui danse", which many people in Orléans are expecting.

Have fun while entertaining the Orleans
Without claiming to live off it, the young man lends himself to the game. Already 30 plaques have been redesigned.

When he starts working, he is surrounded by a few friends to assist him in his night mission. The street artist generally acts in a sheltered environment. Because in a private or public space, street art is still not legal... A question that concerns Mifamosa a little, whose interest is far from the very essence of street art, nor vandalism.

I am not attached to the microcosm of artists active in the Orléans area.

Indeed, its objective remains simple: to have fun and entertain the Orleans. And he was able to see several times that the operation was successful. Incognito, it sometimes surprises conversations of observers. All generations combined, the reaction is unanimous. "It's great," he says, almost systematically.

Orléans is ahead of other cities.

"Mosaic has a more attractive side than painting on a wall. And in full sunlight, aesthetically, it comes out better. Mifamosa realized the "general public" impact of his wild works. But above all, indulgence and the reception of the Orleans.

He, who is not from the Johannine city, has a positive view of the cultural openness of the city. "I spent a holiday in Montpellier, paying particular attention to street art initiatives. On my way back, I thought that Orléans might be ahead of other metropolises in this field.

A good point for the young Orléans artist who will continue, in the coming weeks, to make passers-by smile on every street corner.

Anaïs Rambaud"

Translated with www.DeepL.com/Translator (free version)
Type of publication: Newspaper

When was the article reported?: 09/15/2017

Publication: La république du Centre

Article Url: [Web Link]

Is Registration Required?: no

How widespread was the article reported?: local

News Category: Arts/Culture

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