Vitraux Eglise Notre Dame - Courcon, Nouvelle Aquitaine, France
Posted by: Groundspeak Premium Member sara et gege
N 46° 14.632 W 000° 48.814
30T E 668553 N 5123467
in the town center dans le centre ville
Waymark Code: WM10JZ3
Location: Nouvelle-Aquitaine, France
Date Posted: 05/18/2019
Published By:Groundspeak Premium Member lumbricus
Views: 4

Source Catholic17
Courçon, Notre-Dame church.
When we look at Notre-Dame de Courçon church, what strikes first is its aspect of fortified church. It's only an appearance. Unlike that of Esnandes for example, she has no way of round. The crenellations and machicolation of the bell tower are just ornaments: all this dates from the early twentieth century. With its fortified church look, the building is essentially Romanesque.
There was a church before the year 1000, but the causes of its ruin are imprecise. The current church was built in the late eleventh century, in the year 1091, to defend against the Normans.
Formerly, as in the majority of the rural communes, the cemetery surrounded the church. In 1808, by municipal decision, it was no longer used for burials. In 1816, land was purchased further north to serve as a cemetery for the communes of Courçon and Saint-Martin de Villeneuve (former name of La Grève-sur-Mignon). The latter decided in 1907 to have its own cemetery and to no longer use Courçon.
External presentation of the church:
It is undoubtedly during the Hundred Years' War (1337-1453) that the church was led to play a military role which will lead to the creation of a high room on the nave. The walls were considerably raised above the primitive level, as evidenced by the row of modillions. On the south side, they represent faces. These modillions are characteristic of the novel saintongeais. The thickness of the facade was increased to more than two meters and the door was protected by a double machicolation on arches. An inscription on the north-east buttress of the choir shows that this pillar was made in 1681 by entrepreneurs Bourdolle and Tricales. On the next buttress are carved coats of arms.
The roof of the church is about to fall, it is repaired in 1814. In 1902, many parts of the roof are again in an alarming state. The cover established in poles and reeds, as was formerly practiced, is no longer able to bear the weight of a man. Many poles are broken or worm-eaten. Reeds are rotten by gutters. The repair works are adjudicated in January 1903. Some parts of the wall are consolidated, a buttress of the north facade is rebuilt, all the walls are repaired. Gutters are established to collect rainwater. Parapets are set up for the covered terrace parties.
The bell tower, slightly rectangular, is Romanesque. Very sober, pierced by four openings that look like loopholes, it was primitively capped with a roof of obtuse pyramid with four sides. Rebuilt in 1900, it now has a dome with pendants (the only Aunis with that of Ars-en-Ré) and a bell weighing 450 kilos. It is certainly at this time that the steeple of the church was "embellished" with battlements.
Presentation of the church:
The large nave is Romanesque, it was completed in the 12th century and the two side chapels were completed in the 15th century. The Romanesque vaults at the entrance to the nave give way to Gothic vaults at the height of the choir. The middle walls were decrepit in 1870.
The broken cradle vault at the entrance was originally made of stone, like the other vaults of the building. The original foothills were too slender to fulfill their role. The vault inevitably began to sag. In 1864, she threatens to fall into ruin. The part of the nave, between the main entrance door and the side vaults, is condemned. In 1867, the vault was felled and rebuilt in half its length. It is replaced by another, lighter and brick. It is probably also at this time that one reinforced the buttresses, in order to stop the spacing of the walls.
This brick vault was primitively plastered for aesthetic reasons, but nowadays some architects claim that the materials should not be concealed. This theory is not shared by everyone, even at the Fine Arts.
Side chapels are additions of the 14th and 15th centuries. They served as flying buttresses that avoided the collapse of this part of the main nave. To communicate these chapels with the nave, we have drilled the walls of disparate arcades, separated by pillars. In these chapels, the arches of the vaults and the arches are salient and offer, in section, the form of a hull of a ship. The choir had to be modified at the same time.
Presentation of the stained glass window overlooking the altar:
The stained-glass window overlooking the altar is of Flamboyant Gothic style, though its mullions (ribs) were replaced at the end of the 19th century and its previous layout is unknown.


Source Catholic17
Courçon, église Notre-Dame.
Quand on regarde l'église Notre-Dame de Courçon, ce qui frappe tout d'abord, c'est son aspect d'église fortifiée. Ce n'est qu'une apparence. A la différence de celle d'Esnandes par exemple, elle n'a pas de chemin de ronde. Les créneaux et les mâchicoulis du clocher ne sont que des ornements: tout cela date du début du XXe siècle. Avec ses allures d'église fortifiée, le bâtiment est essentiellement roman.
Il existait une église avant l'an 1000, mais les causes de sa ruine sont imprécises. L'église actuelle fut bâtie à la fin du XIe siècle, en l'an 1091, pour se défendre contre les Normands.
Autrefois, comme dans la majorité des communes rurales, le cimetière entourait l'église. En 1808, par décision municipale, celui-ci ne devait plus servir aux inhumations. En 1816, un terrain fut acheté plus au nord pour servir de cimetière aux communes de Courçon et de Saint-Martin de Villeneuve (ancien nom de La Grève-sur-Mignon). Cette dernière décidera en 1907 d'avoir son propre cimetière et de ne plus utiliser celui de Courçon.
Présentation extérieure de l’église :
C'est sans doute pendant la guerre de Cent Ans (1337-1453) que l'église fut amenée à jouer un rôle militaire qui entraînera la création d'une salle haute sur la nef. Les murs furent considérablement haussés au-dessus du niveau primitif, niveau dont témoigne la rangée de modillons. Sur le côté sud, ils représentent des visages. Ces modillons sont caractéristiques du roman saintongeais. L'épaisseur de la façade fut portée à plus de deux mètres et la porte fut protégée par un double mâchicoulis sur arceaux. Une inscription sur le contrefort nord-est du chœur montre que ce pilier fut fait, en 1681, par les entrepreneurs Bourdolle et Tricaux. Sur le contrefort suivant sont sculptées des armoiries.
La toiture de l'église étant sur le point de tomber, elle est réparée en 1814. En 1902, de nombreuses parties de la toiture sont une nouvelle fois dans un état alarmant. La couverture établie en perches et roseaux, comme cela se pratiquait autrefois, n'est plus en état de supporter le poids d'un homme. De nombreuses perches sont rompues ou vermoulues. Les roseaux sont pourris par les gouttières. Les travaux de réparation sont adjudiqués en janvier 1903. Certaines parties du mur sont consolidées, un contrefort de la façade nord est reconstruit, tous les bas de mur sont réparés. Des chéneaux sont établis pour recueillir les eaux de pluie. Des parapets sont mis en place pour les parties couvertes en terrasse.
Le clocher, légèrement rectangulaire, est de style roman. Très sobre, percé de quatre ouvertures qui ressemblent à des meurtrières, il était primitivement coiffé d'une toiture en pyramide obtuse à quatre pans. Refait en 1900, il possède aujourd'hui une coupole à pendentifs (la seule de l'Aunis avec celle d'Ars-en-Ré) et une cloche qui pèse 450 kilos. C'est certainement à cette époque que le clocher de l'église a été "agrémenté" de créneaux.
Présentation de l’église :
La grande nef est romane, elle a été terminée au XIIe siècle et les deux chapelles latérales ont été achevées au XVe siècle. Les voûtes de style roman à l'entrée de la nef laissent place à des voûtes de style gothique à la hauteur du chœur. Les murs en moyen appareil ont été décrépis en 1870.
La voûte en berceau brisé à l'entrée était primitivement en pierre, comme les autres voûtes de l'édifice. Les contreforts d'origine étaient trop fluets pour remplir leur rôle. La voûte commença inévitablement à s'affaisser. En 1864, elle menace de tomber en ruine. La partie de la nef, entre la porte d'entrée principale et les voûtes latérales, est condamnée. En 1867, la voûte est abattue puis reconstruite dans la moitié de sa longueur. Elle est remplacée par une autre, plus légère et en briques. C'est sans doute aussi à cette époque que l'on renforça les contreforts, afin de stopper l'écartement des murs.
Cette voûte en briques était primitivement crépie par souci d'esthétique, mais de nos jours, certains architectes prétendent qu'il ne faut pas cacher les matériaux. Cette théorie n'est pas partagée par tout le monde, même aux Beaux-arts.
Les chapelles latérales sont des adjonctions des XIV et XVe siècles. Elles ont servi d'arcs-boutants qui ont évité l'écroulement de cette partie de la nef principale. Pour faire communiquer ces chapelles avec la nef, on a percé les murs d'arcades disparates, séparées par des piliers. Dans ces chapelles, les arceaux des voûtes et les voussures sont saillants et offrent, en coupe, la forme d'une carène de navire. Le chœur a dû être modifié à la même époque.
Présentation du vitrail qui domine l'autel :
Le vitrail qui domine l'autel est de style gothique flamboyant, pourtant ses meneaux (nervures) ont été remplacés à la fin du XIXe siècle et on ignore son tracé antérieur.
Ce vitrail, qui daterait de 1864-1967, représente de gauche à droite :
Saint-Guillaume: Ermite, mort en 812, canonisé en 1066. Peut-être une référence au Duc d'Aquitaine et Comte de Poitou, dit Guillaume Fier à Bras. Fête le 28 mai.
Jeanne d'Arc (1412-1431) : dite Jeanne La Pucelle, vierge et martyre, canonisée en 1920. Fête le 30 mai.
Saint-Louis (1214-1270) : Roi de France, canonisé en 1297. Fête le 25 août.
Saint-bernard (1090-1153) : Abbé cistercien, fondateur du monastère de Clairvaux. Canonisé en 1174. Fête le 20 août.
Autres richesses de l’église :
La plus remarquable est assurément une copie de la Sainte Famille de Raphaël, située sur le mûr sud du chœur. Cette toile est du XVIe siècle et son original est au Musée du Louvre. Ce travail est attribué à Jules, dit Le Romain (1499-1546) : Guillio Pipi de Jannuzi, architecte et peintre de l'école romaine, élève et collaborateur de Raphaël. Ce serait un don du Duc de La Rochefoucauld. Pendant la Révolution française, il a été plié et caché dans une ferme des environs. D'ailleurs, on peut encore distinguer la trace des plis à certains endroits. Le dessin est très fidèle, mais les couleurs sont plus pâles que l'original. La toile représente au centre Jésus et Marie, à gauche Elisabeth et Saint-Jean-Baptiste, à l'arrière Saint-Luc et Saint-Joseph.
Les vitraux des tribunes nord et sud datent des environs de 1900 ainsi que le chemin de Croix. Au milieu de l'allée centrale, côté sud, le vitrail de la Présentation de Jésus au Temple fut offert, en 1953, par l'Abbé Guérande, curé de la paroisse à cette époque.
Les autels et retables des chapelles latérales sont du XVIIe siècle. Au nord, l'autel est dédié à la Sainte-Vierge et au sud, au Sacré Cœur.
Le Maître-autel actuel, en pierre de taille fine, date du début du XXe siècle. Il a remplacé un autel à baldaquin du XVIIe siècle. Le devant de cet autel très abîmé et vermoulu est à la sacristie. Le baldaquin était soutenu par six colonnes de bois massif. Deux de ces colonnes encadrent le confessionnal, les quatre autres ornent les fonds baptismaux, qui eux, sont de style Louis XIV.
Type of building where window is located: Church

Address:
place de l eglise
Courcon, Nouvelle Aquitaine France
17170


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