"It is only from the eighteenth century more precisely as of May 8, 1716 that we find a written record of the name Our Lady of Victories, which was already at that time in use among the people, because the it was wrongly thought that it had been founded to celebrate the victory of Duke John I at the Battle of Worringen.
The choir is illuminated by eleven lancets of some fourteen meters high separated by fasciculated pillars. Below the lancets are painted trilobal arches.
The arms of the transept are decorated with two registers of arcatures surmounted by a frieze of cabbage leaves. The portal of the northern cross is surmounted by a window, decorated with a glass roof of Crespin and Colpaert (1947) representing the tree of Jesse. while that of the southern cross is surmounted by a large rose window, with in its center an unidentified Sedes sapientiae.
The nave has a central vessel flanked by four collaterals. It is divided into seven spans: the five spans originally planned and two additional spans built in the early sixteenth century. "
Sources : The Church
"D'une surface au sol de 26 000 m2, il est plus vaste que la Basilique Saint-Pierre de Rome. Il est l'œuvre de l'architecte Joseph Poelaert.
La première pierre fut posée le 31 octobre 1866 sous le règne de Léopold II. Le Palais fut inauguré le 15 octobre 1883 après la mort de l'architecte Joseph Poelaert en présence du roi Léopold II qui toutefois ne s'était pas mêlé à la construction de cet édifice.
Le domaine du Couvent des Dames de Berlaymont et le parc de l'hôtel de Mérode sont expropriés par un arrêté royal de Léopold Ier, tout comme l'îlot compris entre les rues d'Artifice et des Sabots, et font place à sa construction à partir de 1866.
Les 75 propriétaires de cette partie des Marolles dont beaucoup habitaient leurs maisons bruxelloises furent largement indemnisés, quant aux habitants, environ une centaine, ils furent relogés dans une cité-jardin construite par Poelaert dans le quartier du Chat à Uccle.
Dernière œuvre de Poelaert conçue sous Léopold Ier, le Palais de Justice en couronne le règne et résume l'idéologie et la pensée de la première génération des fondateurs de la Belgique, axée sur le droit et la défense des libertés. Même si, tant Léopold Ier que Poelaert n'en virent pas l'achèvement, les derniers représentants de cette génération des fondateurs purent ainsi y contempler comme le bouquet final de leur œuvre créatrice d'un nouvel État parlementaire et démocratique. "
Sources : L’Eglise