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 Citadelle gallo-romaine de Vésone - Périgueux, France Posted by:  pmaupin
N 45° 10.929 E 000° 42.727
31T E 320252 N 5005731
[EN] The Gallo-Roman citadel of Vésone was a citadel whose enclosure was built around 284 AD. J. - C. by the inhabitants of Vesunna, ancient site of the current city of Périgueux.
[FR]La citadelle gallo-romaine de Vésone était une citadelle dont l'enceinte fut construite vers 284 apr. J.-C. par les habitants de Vesunna, site antique de la ville actuelle de Périgueux.
Waymark Code: WMZQ6C
Location: Nouvelle-Aquitaine, France
Date Posted: 12/20/2018
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 "At the end of the third century, following the invasion attributed to the Alamans, the Roman city shrinks on five and a half hectares, retreating to a small plateau behind the ramparts.Integrating the northwestern half of the amphitheater of Vesunna, these walls are built around 284 AD by the use of elements of monuments of the city (vestiges remain of these ramparts) and this third city takes the name of Civitas Petrucoriorum ("city of Petrocores "), Place that will become" the City "at the end of antiquity.
This restructuring of the ancient city is mainly due to the lack of maintenance of the heritage, the effervescence of the évergétisme and the more indulgent stewardship of the local taxation. At the time, this enclosure had twenty-four towers of eight meters in diameter, twenty-three curtains and three doors, along a rampart measuring 950 m, 5 to 6 m wide and 9 m high. However, despite this reflex of fear supported by the political instability of the Empire and the economic crisis, the capital of Petrocores still manages its territory.
Among the three gates, the so-called Mars Gate, built between the end of the third century and the beginning of the fourth century, remains the main and monumental entrance to the best-preserved city. Today located in a private garden in the Cité district, it was discovered in 1858 by the famous archaeologist Arcisse de Caumont8. According to Hervé Gaillard, the scientific manager of the excavations carried out between 2005 and 2009 as well as in 2011 around the door, it is composed of "two semicircular towers, decorated with pilasters capped with a large entablature adapted from the Tuscan style ". Only part of the Mars Gate is still standing, about 9 m, including 4 m buried underground. "
Sources : The Gallo-Roman citadel
 " À la fin du IIIe siècle, à la suite de l'invasion attribuée aux Alamans, la cité romaine se rétrécit sur cinq hectares et demi, en se retirant sur un petit plateau derrière des remparts. Intégrant la moitié nord-ouest de l'amphithéâtre de Vesunna, ces murailles sont construites vers 284 apr. J.-C. par remploi d'éléments des monuments de la ville (des vestiges subsistent de ces remparts) et cette troisième cité prend le nom de Civitas Petrucoriorum (« cité des Pétrocores »), lieu qui va devenir « la Cité » à la fin de l'Antiquité.
Cette restructuration de la cité antique s'explique principalement par le manque d'entretien du patrimoine, l'effervescence de l'évergétisme et l'intendance plus indulgente de la fiscalité locale. Cette enceinte compte à l'époque vingt-quatre tours de 8 m de diamètre, vingt-trois courtines et trois portes, le long d'un rempart mesurant 950 m, sur 5 à 6 m de largeur et 9 m de hauteur. Toutefois, malgré ce réflexe de peur appuyé par l'instabilité politique de l'Empire et la crise économique, la capitale des Pétrocores gère toujours son territoire.
Parmi les trois portes, la porte dite de Mars, édifiée entre la fin du IIIe siècle et le début du IVe siècle, reste l'entrée principale et monumentale de la cité la mieux conservée. Aujourd'hui située dans un jardin privé du quartier de la Cité, elle est découverte en 1858 par le célèbre archéologue Arcisse de Caumont8. D'après Hervé Gaillard, le responsable scientifique des fouilles effectuées entre 2005 et 2009 ainsi qu'en 2011 autour de la porte, celle-ci est composée de « deux tours semi-circulaires, ornées de pilastres coiffés d'un grand entablement adapté du style toscan ». Seule une partie de la porte de Mars est encore debout, soit environ 9 m, dont 4 m enfouis sous-terre. "
Sources : La citadelle gallo-romaine
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