Marie Lacoste-Gérin-Lajoie - Québec, Québec
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Weathervane
N 46° 48.499 W 071° 12.804
19T E 331126 N 5186242
Militante pour le droit de vote des femmes, cofondatrice de la Fédération nationale Saint-Jean-Baptiste en 1907. Women's Rights activist, cofounder of the Fédération nationale Saint-Jean-Baptiste in 1907.
Waymark Code: WMXNC4
Location: Québec, Canada
Date Posted: 02/02/2018
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Marie Gérin-Lajoie (née Lacoste) auteure, éducatrice, militante sociale, fondatrice de la Fédération nationale Saint-Jean-Baptiste (née le 19 octobre 1867 à Montréal, au Québec; décédée le 1er novembre 1945 à Montréal). Issue d’une famille montréalaise appartenant à l’élite francophone catholique, Marie Gérin-Lajoie a milité pour l’amélioration du statut de la femme, y compris le droit de vote. À travers ses écrits et ses conférences publiques, elle a travaillé pour s’assurer que toutes les femmes du Québec comprennent leurs droits et leurs devoirs dans ce qu’elle appelait le « droit usuel », soit la loi de la vie quotidienne.
Référence: (
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Marie Lacoste-Gérin-Lajoie porte un chapeau dont le bord est décoré, un collier et une longue robe au coude qui se termine sur ses chaussures en cuir. Sa main gauche repose sur l'épaule droite d'Idola St-Jean. Marie semble être très satisfaite de ses réalisations, mais elle est tout à fait consciente du travail qui reste à faire dans le domaine des droits des femmes.
Marie Gérin-Lajoie (née Lacoste) author, educator, social activist, founder of the Fédération nationale Saint-Jean-Baptiste (born 19 October 1867 in Montréal, QC; died 1 November 1945 in Montréal). From her family base in Montréal’s Catholic francophone elite, Gérin-Lajoie advocated for improvements in women’s status, including the right to vote. Through her writings and public lectures, she tried to ensure that all Québec women would understand their rights and duties as defined in what she called the droit usuel: the law of daily life.
Reference: (
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Marie Lacoste-Gerin-Lajoie wears a brim decorated hat, a necklace and a long elbow length dress that ends on top of her leather shoes. Her left hand rests on the right shoulder of Idola St-Jean. Marie looks to be most satisfied with her achievements but is acutely aware of the work that remains to be done in the field of women’s rights.