The history dates back to the 17th century. Life then settled in the current borough of the Diamond. The commune did not exist at the time, and the inhabitants depended on the Anses d'Arlets.
In 1684, the Diamond was erected as a parish. A chapel was built there and the cane, corn and cotton were grown around the Church.
Three years later, a violent cyclone hit the island. The parishioners immediately mobilized. With the assistance of the King, they raise more than 39,000 books to repair the church and presbytery.
In the 19th century, the church grew. Rebuilt and blessed by Abbé Dacheux, it is also enlarged to measure 16,50m long by 8m wide.
The exterior walls are redone and the one that restricted the building is replaced by a wooden colonnade. Inside, side alleys and a wooden altar are added.
The church has neither a nave nor a bell tower. Its two bells are supported by poles, on the outside.
These tremendous developments again suffered the whims of the climate in 1871. The church was destroyed by a cyclone and the parishioners could not pay for the repairs. They defer to the prefect.
After much controversy, the latter conceived of increasing a tax, according to the number of slaves possessed, to finance the works.
Sources : The Church
L’histoire remonte au XVIIe siècle. La vie s’installe alors dans l’actuel bourg du Diamant. La commune n’existait pas à l’époque, et les habitants dépendaient donc des Anses d’Arlets.
En 1684, le Diamant est érigé en paroisse. On y bâtit une chapelle et autour de l’Eglise on cultive la canne, le maïs et le coton.
Trois ans plus tard, un violent cyclone s’abat sur l’île. Aussitôt, les paroissiens se mobilisent. Avec le concours du Roi, ils réunissent plus de 39 000 livres pour effectuer les réparations de l’église et du presbytère.
Au XIXe siècle, l’église prend de l’ampleur. Reconstruite et bénite par l’abbé Dacheux, elle est aussi agrandie pour mesurer 16,50m de long sur 8m de large.
Les murs extérieurs sont refaits et celui qui limitait le bâtiment est remplacé par une colonnade de bois. A l’intérieur, on y ajoute des allées latérales et un autel en bois.
L’église ne possède alors ni nef ni clocher. Ses deux cloches sont soutenues par des poteaux, à l’extérieur.
Ces aménagements considérables subissent à nouveau les caprices du climat en 1871. L’église est détruite par un cyclone et les paroissiens ne peuvent payer les réparations. Ils s’en remettent au préfet.
Après maintes polémiques, celui-ci conçoit d’augmenter un impôt, en fonction du nombre d’esclaves possédés, pour financer les travaux.
Sources : L’Eglise