Maison Joseph-Wilfrid-Faucher - Drummondville, Québec
Posted by: Weathervane
N 45° 52.821 W 072° 29.008
18T E 695278 N 5083833
La maison Joseph-Wilfrid-Faucher est une résidence bourgeoise en brique rouge construite en 1920. Elle est située sur la rue Lindsay.
Waymark Code: WMXCEJ
Location: Québec, Canada
Date Posted: 12/26/2017
Views: 13
La maison Joseph-Wilfrid-Faucher est une résidence bourgeoise en brique rouge construite en 1920. C'est une demeure de plan rectangulaire, à deux étages et demi avec un toit en pavillon. La façade d'influence néogrecque, située dans un mur-pignon, possède un imposant fronton triangulaire supporté par quatre colonnes ioniques et comporte une galerie au rez-de-chaussée ainsi que deux balcons à l'étage. La maison Joseph-Wilfrid-Faucher est implantée légèrement en retrait de la voie publique, sur un terrain paysager, au centre-ville de Drummondville.
Ce bien est cité immeuble patrimonial. La protection s'applique à l'enveloppe extérieure de l'immeuble.
Informations historiques
C'est en 1888 que Drummondville acquiert le statut de ville. Jusqu'au premier quart du XXe siècle, il s'agit d'une petite agglomération qui dépasse à peine 5000 habitants et dont l'économie est axée sur l'exploitation des richesses naturelles et sur les activités industrielles légères.
Au début du XXe siècle, Joseph-Wilfrid Faucher possède une manufacture de portes et fenêtres à Drummondville. Son entreprise semble prospère en 1920, puisqu'il réside dans une majestueuse résidence au centre-ville, sur la rue Lindsay. Il est possible que son père Joseph Faucher, contracteur, dessine lui-même les plans du bâtiment aux dimensions imposantes et à la façade néogrecque. La résidence, maintenant connue sous l'appellation de maison Joseph-Wilfrid-Faucher, témoigne de la réussite de ce commerçant.
Certaines composantes de la maison, dont les galeries, les colonnes et les garde-corps, sont restaurés en 2001 dans le cadre du programme « Vieux Quartiers », volet Conservation du patrimoine.
La maison Joseph-Wilfrid-Faucher est citée en 2002.
Référence: (
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