With the recent restoration of its secular washhouse, the city has recovered an element of the picturesque and promotional image of its old borough.
The origin of this construction is to be sought at the time of the Revolution after the terrible flood of the Loire in January 1789 had overturned the bridge of the canal to the town of Chécy.
To the west of the destroyed structure, on the south side, was a cattle trough whose location constituted a discomfort in the implementation of a protection of the bridge against the overflowing of the river.
It had been suggested to the Duke of Orleans, owner of the canal, that the trough could advantageously be rebuilt opposite, on the other bank at the foot of the hill, which in fact made it a little less The old for the inhabitants of the town.
On land available to the "nation" following the sale of the national property, it was proposed to install the new work as well as a port for the supply of the commune.
The Duke probably did not follow the conditions proposed by the municipality because on 28 July 1793 a deliberation of the municipal council decided to set up a charity workshop where all indigents of the municipality were invited to participate in the creation The port and the drinking trough. The matter dragged on.
It was at the end of the 19th century that the building we know was built. He replaced, at the request of the laundresses often exposed to the weather, the previous lavoir which was not covered.
Sources : Le Lavoir
Avec la récente restauration de son lavoir séculaire, la ville a retrouvé un élément de l'image pittoresque et promotionnelle de son vieux bourg.
L'origine de cette construction est à chercher à l'époque de la Révolution après que la terrible crue de Loire de janvier 1789 eût renversé le pont du canal au bourg de Chécy.
A l'ouest de l'ouvrage détruit, côté sud, se trouvait alors un abreuvoir à bestiaux dont l'emplacement constituait une gêne dans la mise en oeuvre d'une protection du pont contre les débordements du fleuve.
II avait été suggéré au Duc d'Orléans, propriétaire du canal, que l'abreuvoir pouvait avantageusement être reconstruit en face, sur l'autre rive au pied du coteau, ce qui, par le fait, le rendait même un peu moins loin que l'ancien pour les habitants du bourg.
Sur un terrain disponible appartenant "à la nation" à la suite de la mise en vente des biens nationaux, on se proposait donc d'implanter le nouvel ouvrage ainsi qu'un port pour l'approvisionnement de la commune.
Le Duc ne donna sans doute pas suite aux conditions proposées par la municipalité car le 28 juillet 1793 une délibération du conseil municipal décidait de la mise en place d'un atelier de charité où tous les indigents de la commune étaient invités à venir participer à la création du port et de l'abreuvoir. L'affaire traîna.
C'est à la fin du XIXe siècle que le bâtiment que nous connaissons fut construit. Il remplaça, à la demande des lavandières souvent exposées aux intempéries, le précédent lavoir qui lui n'était pas couvert.
Sources : Le Lavoir