The town hall (partly eighteenth century, partly nineteenth century) was built in the regional style of stones and bricks, with sandstone basement, and stone pavilions. On the pediment are statues of King Louis VI the Fat and Bishop Geoffroi, who granted freedom to Amiens in 1115.
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L'hôtel de ville (en partie xviiie, en partie xixe siècle). Style régional de pierres et briques, avec soubassement de grès, et pavillons en pierre. Sur le fronton on retrouve les statues du roi Louis VI le Gros et de l'évêque Geoffroi, qui ont octroyé la liberté à Amiens en 1115.
L'hôtel de ville aujourd'hui
Désormais tournée au sud, l’entrée principale de la Mairie s’ouvre sur une cour d’honneur. Deux ailes en retour l’encadrent, terminées par des pavillons inspirés du Palais du Luxembourg.
Une galerie de communication permet de les relier et un avant-corps central domine l’ensemble. Sur trois niveaux, formant frontispice, il commande l’ordonnance et confère à l’édifice sa solennité.
Les abords du monument
La place Léon Debouverie offre un retour aux sources de la commune. De la base massive du beffroi médiéval, émerge le campanile du XVIIIe siècle. L’ensemble contraste avec la nouvelle halle de frais, réalisée par François-Xavier Legenne en 1992. Celle-ci apporte, par le graphisme de ses courbes, un contrepoint à la raideur des immeubles de la reconstruction et à l’éclectisme de l’Hôtel des Postes construit par Émile Ricquier en 1883. La situation surélevée de la façade du Bailliage, par rapport à la rue Léon Blum, tient à son implantation sur l’ancien rempart gallo-romain.
La façade arrière
De ce côté, la façade de l’Hôtel de Ville superpose deux niveaux d’élévation de pierre blanche aux lignes néoclassiques. Sur le grand comble d’ardoises se découpent les lucarnes. Celles du centre s’unissent autour du blason de la Ville d’Amiens et du sceau dont la Commune s’est dotée au Moyen Âge. Contournant le bâtiment pour accéder à la cour d’honneur, on longe les façades latérales. Là, le contraste introduit par la brique annonce le changement d’époque.
Une architecture néoclassique
Le transfert de la grille d’entrée à la Hotoie, en 1992, libère l’accès à la cour d’honneur. L’usage de la brique pour les deux ailes assure le lien avec le corps du bâtiment ancien. La pierre, réservée aux pavillons latéraux, à la galerie et à son avant-corps, offre une architecture plus riche empreinte de néoclassicisme. Ce parti pris esthétique s’exprime principalement dans le jeu des pilastres et colonnes et dans le recours aux bossages. La liberté des architectes dans l’emploi des ordres (dorique et corinthien notamment) ne retire rien à la hiérarchie de cette architecture représentative du XIXe siècle. Le choix des thèmes iconographiques et de leur position y prend une valeur particulière.