Le Clocher de l'Eglise saint Andre - Niort, Nouvelle Aquitaine, France
N 46° 19.652 W 000° 27.747
30T E 695322 N 5133568
The church of Saint Andre is on the heights of the city of Niort
L'eglise Saint Andre est sur les hauteurs de la ville de Niort
Waymark Code: WM11KAW
Location: Nouvelle-Aquitaine, France
Date Posted: 11/06/2019
Views: 9
religious heritage source:
The building has two bell towers in front. They are both pierced by oculi and arched bays in brackets, they are supported by buttresses. Their covering is Kreisker type.
Source New Republic:
Two high arrows
The proposed new church encroaches on the land of local residents and it is then necessary to resort to some expropriations for reasons of public utility. In 1862, expenditure is estimated at 230,000 francs to which is now added the replacement of the bell tower originally planned by two high arrows 70 meters frontage, the most beautiful effect. The City is participating in this reconstruction up to 12,000 francs - the sixth of the initial expenditure. The rest comes from factory resources, donations and the volunteer work of some artisans. Among the generous donors: the priest Rabier obviously and the mayor Paul-François Proust.
The building is not completed when the death of the architect Pierre-Théophile Segrétain, replaced by Jean-Baptiste Perlat. Nineteen years separate the laying of the foundation stone of the consecration on September 4, 1874. The church is not completely finished: some ornaments are still missing such as the statue of St. Andrew, placed at the bedside, by the sculptor Aristide Belloc, the interior paintings of Louis Germain like the baptism of Clovis (1894) and the departure of Saint-Louis for the crusade (1896) ...
source Patrimoine religieux :
L’édifice est doté de deux tours-clochers en façade. Elles sont toutes deux percées d’oculi et de baies en arc en accolade, elles sont épaulées par des contreforts. Leur couvrement est de type Kreisker.
Source Nouvelle Republique :
Deux hautes flèches
La nouvelle église proposée empiète sur les terrains des riverains et il faut alors avoir recours à quelques expropriations pour cause d’utilité publique. En 1862, les dépenses sont estimées à 230.000 francs auxquelles s’ajoute désormais le remplacement du clocher primitivement prévu par deux hautes flèches de 70 mètres en façade, du plus bel effet. La Ville participe à cette reconstruction à hauteur de 12.000 francs – le sixième de la dépense initiale. Le reste provient des ressources de la fabrique, de dons et du bénévolat de certains artisans. Parmi les généreux donateurs : le curé Rabier évidemment et le maire Paul-François Proust.
L’édifice n’est pas achevé quand survient le décès de l’architecte Pierre-Théophile Segrétain, remplacé par Jean-Baptiste Perlat. Dix-neuf années séparent la pose de la première pierre de la consécration le 4 septembre 1874. L’église n’est pas totalement achevée : quelques ornements manquent encore comme la statue de saint André, dressée au chevet, due au sculpteur Aristide Belloc, les peintures intérieures de Louis Germain comme le baptême de Clovis (1894) et le départ de Saint-Louis pour la croisade (1896)…
la nouvelle Republique : (
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