"Supplemented by a few fragments from the next three centuries, they constitute an exceptional ensemble for the Armorican peninsula where most of the listed glass dates back to modern times, and an important campaign of creation, begun in the second half of the 19th century. has endowed the building with an interesting corpus of neo-Gothic works that are intended to be archaeological.
The mistress-window of the choir, dating from the years 1280-1290, is the oldest monumental window of Brittany still preserved in-situ.
Restored from the early sixteenth century, this work was again in 1870. On this occasion, some of his medallions were restored by Oudinot. In 1942, the glass roof was sheltered from bombing at Fougères-sur-Bièvre (Eure-et-Loir). She did not return to Dol until 1951, after a restoration under the care of the master glassmaker Jacques Gruber by the Chief Architect of Historic Monuments Raymond Cornon. A final restoration, conducted from 1982 to 1986, restored its luster.
The master window is composed of eight lancets grouped two by two under a trilobe and openwork spandrels, two arches pierced with a quadrilobe structuring the composition on either side of the central mullion. In the tympanum, a hexalobed rose, set with six trilobes and as many spandrels, leans on these arches, determining two trilobes and a medial wedge between the two quadrilobes. The work measures 9.50 m high and 6.50 m wide.
Most of the high windows of the choir and transepts remain partially filled with simple grisailles executed around 1290 and completed in 1890-1891. In addition, the central lancets of the bays 211 and 212 of the walls are north and south braces retain the figures in foot of four bishops (bays 211 and 212). Built around 1265-1270 and restored in 1890 by master glassmakers Jacquier and Küchelbecker, they are the oldest stained-glass windows in the cathedral. These achievements were embellished in the nineteenth century ecus of bishops Jean de Lizaunet and Jean Mahé in the north, and the arms of Thibaud Pouancé and Jean du Bosc, south.
Works from the second half of the nineteenth century celebrate the virtue of local saints or testify to contemporary devotions. They also seek to magnify the metropolitan past of the siege of Dol which the archbishopric of Rennes poses as the heir. "
Sources : The Stained Glass
The Stained Glass
" Complétés par quelques fragments des trois siècles suivants, ils constituent un ensemble exceptionnel pour la péninsule armoricaine où l'essentiel du vitrage classé date des temps modernes. Par ailleurs, une campagne importante de création, entreprise à partir de la seconde moitié du XIXe siècle, a doté l'édifice d'un corpus intéressant d’œuvres néogothiques se voulant archéologiques.
La maîtresse-vitre du chœur, datant des années 1280-1290, constitue le vitrail monumental le plus ancien de Bretagne encore conservé in-situ.
Restaurée dès le début du XVIe siècle, cette œuvre l'a été de nouveau en 1870. À cette occasion, quelques-uns de ses médaillons furent restitués par Oudinot. En 1942, la verrière fut mise à l'abri des bombardements à Fougères-sur-Bièvre (Eure-et-Loir). Elle ne revint à Dol qu'en 1951, après une restauration aux soins du maître-verrier Jacques Gruber par l'Architecte en chef des Monuments historiques Raymond Cornon. Une ultime restauration, conduite de 1982 à 1986, lui a rendu tout son lustre.
La maîtresse-vitre est composée de huit lancettes groupées deux à deux sous un trilobe et des écoinçons ajourés, deux arcades percées d'un quadrilobe structurant la composition de part et d'autre du meneau central. Au tympan, une rose hexalobée, sertie de six trilobes et autant d'écoinçons, prend appui sur ces arcades, déterminant deux trilobes sommitaux et un écoinçon médian, entre les deux quadrilobes. L’œuvre mesure 9,50 m de haut pour 6,50 m de large.
La plupart des fenêtres hautes du chœur et des transepts restent partiellement garnies de simples grisailles exécutées vers 1290 et complétées en 1890-1891. Par ailleurs, les lancettes centrales des baies 211 et 212 des parois est des croisillons nord et sud conservent les figures en pied de quatre évêques (baies 211 et 212). Réalisés vers 1265-1270 et restaurés en 1890 par les maîtres-verriers Jacquier et Küchelbecker, ce sont les plus anciens vitraux de la cathédrale. Ces réalisations ont été agrémentées aux XIXe siècle des écus des évêques Jean de Lizaunet et Jean Mahé, au nord, et des armes de Thibaud de Pouancé et Jean du Bosc, au sud.
Les œuvres réalisées à compter de la seconde moitié du XIXe siècle entendent célébrer la vertu des saints locaux ou témoigner des dévotions contemporaines. Elles cherchent également à magnifier le passé métropolitain du siège de Dol dont l'archevêché de Rennes se pose comme l'héritier. "
Sources : Les Vitraux
Les Vitraux