Mairie - Loulay,Nouvelle Aquitaine, France
Posted by: Groundspeak Premium Member sara et gege
N 46° 02.853 W 000° 30.707
30T E 692501 N 5102341
in the town center dans le centre ville
Waymark Code: WM10J3D
Location: Nouvelle-Aquitaine, France
Date Posted: 05/13/2019
Published By:Groundspeak Premium Member fi67
Views: 4

The building of the town hall must date from 1850 as shown by the postcards of this time.

source Vals of saintonge:
Historical
Loulay takes its name from the ancient Luliacum or villa Lullii. The village would have developed from the estate of Lullius, rich Romanized landowner of the Gallo-Roman era. However, no archaeological study has established the various periods of occupation of the site.
In the Middle Ages, Loulay knows the influence of the Benedictine abbey of Saint-Jean d'Angély. The priory Saint-Sauveur Loulay would have been given by Guy Geoffroy, Duke of Aquitaine, around 1073. The sources also indicate that he would have donated half of the land of Loulay to the Abbey of Montierneuf Poitiers. Sources indicate that the town of Loulay would have disposed of a chaplaincy of which it remains only the name of a piece of land located south of the town. Chaplaincy depended on the religious order of the Antonines. Following the suppression of this order in 1768, the goods of the chaplaincy pass to the hospital of Saint-Jean d'Angély before being leased, in 1775, Louis Racapé, sieur of La Plesse. Neither the sources nor the architectural remains clearly identify the location of the priory and chaplaincy.
From the 13th century, several families succeed at the head of the lordship of Loulay. The Fors own Loulay from 1222 to 1363, when they transmit their property to Grandin de Vaux. In 1448, Marc d'Estouraille became lord of Loulay; then Guillaume Duval in 1482, and René Chessé in 1582. The Chessé family transmits the seigneury to the Rat family by marriage. In 1653, the lordship was bought by the family Frotier following a seizure on the heirs of Jean Rat.
In the 18th century, the map of Cassini mentions on the territory of Loulay only the village and the hamlet of La Plesse, in the south; period in which the municipality counts 325 inhabitants (census of 1793). In 1765, the lordship became the successive property of the Carré de Varennes, the Serton and finally the Roy de Loulay. A bill of sale identifies a portion of the contents of the seigneury of Loulay: a three-storey house with a stone staircase, a flee, an old building retaining the oven, halls of ten poles of wood, a simple house, a farm and a borderie. The early Romanesque church of the 12th century was originally located north of the village, before being rebuilt in 1857 at its present location. The urban organization did not develop around a central axis but along the main roads, essentially in the part between the royal road and the Trézence.
The study of the registers of the deliberations of the municipal council makes it possible to underline the important role that the municipality played in the field of the cattle trade in the 19th century. Indeed, fairs are regularly organized; the documents also reveal the almost systematic consultation of the City Council for the creation of fairs on neighboring municipalities. Faced with the development of this trade, the municipality has no other obligation than to enlarge its fairground and create a second, exclusively reserved for the cattle breed. A hall is built, place of General de Gaulle, in 1880. This favorable context has no doubt allowed the creation, under the impetus of Anatole Contré, in 1910, the mutual livestock dealers. The mutual, known today as MAPA, will move to Saint-Jean d'Angély in the middle of the 20th century.
Following the phylloxera crisis at the end of the 19th century, the municipality, essentially turned towards viticulture, turned towards agriculture. From 1882, all the vineyards of Loulay are destroyed. The development of the railway will then position Loulay as the crossroads of the canton. The railway linking Saint-Jean d'Angély to Niort, serving Loulay, was put into operation in 1878. The Loulay station, located in the south-east of the town, is used to transport agricultural production from neighboring localities (Saint-Denis Pine, La Jarrie Audouin, Saint-Martial de Loulay, Lozay, La Chapelle Baton, Courant, La Benade, Nuaillé sur Boutonne, St. Pierre de l'Isle and Blanzay sur Boutonne). The prosperity of the town is reflected in a population growth until the middle of the 20th century (554 inhabitants in 1921 then 764 in 1962). The many early postcards of the early 20th century testify to the activity of the town and the many shops that were found in the village at that time. Agricultural production, ever increasing, allows the development of the Agricultural Cooperative Loulay. At the same time, the plant for the sawing of poplars in the Boutonne valley, created in Loulay by Rémy Malvaux in 1928, moved in 1953 towards the manufacture of plywood. The factory, which employs 480 employees in 1975, is then the economic center of the municipality.



Le batiment de la mairie doit dater de 1850 comme le montre les cartes postales de cette époque.

source Vals de saintonge :
Historique
Loulay tire son nom de l'ancienne Luliacum ou villa Lullii. Le village se serait développé à partir du domaine de Lullius, riche propriétaire terrien romanisé de l'époque gallo-romaine. Cependant, aucune étude archéologique n'a permis d'établir les différentes périodes d'occupation du site.
Au Moyen Age, Loulay connaît l'influence de l'abbaye bénédictine de Saint-Jean d'Angély. Le prieuré Saint-Sauveur de Loulay lui aurait été donné par Guy Geoffroy, duc d'Aquitaine, vers 1073. Les sources indiquent également qu'il aurait fait don de la moitié de la terre de Loulay à l'abbaye de Montierneuf de Poitiers. Des sources révèlent que la commune de Loulay aurait disposé d'une aumônerie dont il ne reste trace que le nom d'une pièce de terre située au sud du bourg. L'aumônerie dépendait de l'ordre religieux des Antonins. A la suite de la suppression de cet ordre en 1768, les biens de l'aumônerie passent à l'hôpital de Saint-Jean d'Angély avant d'être affermés, en 1775, à Louis Racapé, sieur de La Plesse. Ni les sources, ni les vestiges architecturaux ne permettent d'identifier clairement l'emplacement du prieuré et de l'aumônerie.
A partir du 13e siècle, plusieurs familles se succèdent à la tête de la seigneurie de Loulay. Les Fors possèdent Loulay de 1222 à 1363, date à laquelle ils transmettent leurs biens à Grandin de Vaux. En 1448, Marc d'Estouraille devient seigneur de Loulay ; puis Guillaume Duval en 1482, et René Chessé en 1582. La famille Chessé transmet par mariage la seigneurie à la famille Rat. En 1653, la seigneurie est rachetée par la famille Frotier suite à une saisie prononcée sur les héritiers de Jean Rat.
Au 18e siècle, la carte de Cassini ne mentionne sur le territoire de Loulay que le bourg et le hameau de La Plesse, au sud ; période à laquelle la commune compte 325 habitants (recensement de 1793). En 1765, la seigneurie devient la propriété successive des Carré de Varennes, des Serton et enfin des Roy de Loulay. Un acte de vente permet d'identifier une partie du contenu de la seigneurie de Loulay : une maison à trois étages avec un escalier en pierre de taille, une fuie, un vieux bâtiment conservant le four banal, des halles de dix poteaux de bois, une simple maison, une métairie et une borderie. L'église primitive romane, du 12e siècle, se situait initialement au nord du bourg, avant d'être reconstruite, en 1857, à son emplacement actuel. L'organisation urbaine ne s'est pas développée autour d'un axe central mais le long des axes de circulation, essentiellement dans la partie comprise entre la route royale et la Trézence.
L'étude des registres des délibérations du conseil municipal permet de souligner le rôle important qu'a joué la commune dans le domaine du commerce de bestiaux au 19e siècle. En effet, des foires y sont régulièrement organisées ; les documents révèlent également la consultation quasi systématique du Conseil municipal en vue de la création de foires sur les communes voisines. Devant le développement de ce commerce, la commune n'a d'autre obligation que d'agrandir son champ de foire et d'en créer un second, exclusivement réservé à la race bovine. Une halle est construite, place du général de Gaulle, en 1880. Ce contexte favorable a sans doute permis la création, sous l'impulsion d'Anatole Contré, en 1910, de la mutuelle des marchands de bestiaux. La mutuelle, connue sous le nom actuel de MAPA, déménagera à Saint-Jean d'Angély au milieu du 20e siècle.
Suite à la crise du phylloxera à la fin du 19e siècle, la commune, essentiellement tournée vers la viticulture, s'oriente vers l'agriculture. Dès 1882, la totalité des vignes de Loulay sont détruites. Le développement du chemin de fer va alors positionner Loulay comme carrefour du canton. La voie ferroviaire reliant Saint-Jean d'Angély à Niort, desservant Loulay, est mise en activité en 1878. La station de Loulay, située au sud-est du bourg, permet d'acheminer la production agricole des localités voisines (Saint-Denis du Pin, La Jarrie Audouin, Saint-Martial de Loulay, Lozay, La Chapelle Bâton, Courant, La Benâte, Nuaillé sur Boutonne, Saint-Pierre de l'Isle et Blanzay sur Boutonne). La prospérité de la commune se traduit par une croissance démographique jusqu'au milieu du 20e siècle (554 habitants en 1921 puis 764 en 1962). Les nombreuses cartes postales anciennes du début du 20e siècle témoignent de l'activité de la commune et des nombreux commerces que l'on trouvait dans le bourg à cette période. La production agricole, sans cesse croissante, permet le développement de la Coopérative agricole de Loulay. Parallèlement, l'usine pour le sciage des peupliers de la vallée de la Boutonne, créée à Loulay par Rémy Malvaux en 1928, s'oriente en 1953 vers la fabrication de contreplaqué. L'usine, qui emploie 480 salariés en 1975, s'inscrit alors comme le pôle économique du territoire communal. Cependant, la population connaît un léger affaiblissement et atteint 667 habitants en 1975. La commune va alors se doter des différents équipements publics modernes (collège, piscine, communauté de communes, foyer rural, et plus récemment une bibliothèque municipale). La croissance de la population repart dès 1975 pour atteindre 771 habitants recensés par l'Insee en 2007.
Description
La commune de Loulay se situe sur le canton de Loulay en Charente-Maritime, au nord de la ville centre du Pays des Vals de Saintonge, Saint-Jean d'Angély.
Le territoire communal présente un relief légèrement accidenté, incliné sur un axe sud-nord. Il est traversé par plusieurs cours d'eau. La Trézence prend sa source au sud de la commune, en bordure de la route départementale 150. Le cours d'eau suit ensuite le dénivelé naturel en direction du bourg, qu'il traverse, puis des plaines agricoles situées au nord. La Trézence parcourt 27,7 kilomètres avant de se jeter dans la Boutonne. Les autres cours d'eau sont considérés comme temporaires.
Les terres agricoles sont prédominantes sur le territoire, notamment en raison de l'absence de zone urbanisée en dehors du bourg et de sa périphérie immédiate. Autour du bourg, la zone agricole couvre ainsi près de 74% de la superficie communale, soit environ 550 hectares. Le bois d'Essouvert (annexe 1) occupe la partie sud du territoire sur une superficie totale de 66 hectares. C'est à cet endroit que l'inclinaison du terrain atteint son maximum, mesurée localement à 5%. La surface de boisement représente environ 9% de la superficie totale, un pourcentage quasi équivalent à la superficie bâtie.
Quelques exemples de construction en pierre dite "pierre chenine" (annexe 2) ont été relevés au cours de l'enquête. Les pierres utilisées pour la construction se présentent sous la forme de pierres plates, gris rosé, composées de petits coquillages de 2 à 5 millimètres de diamètre. Cette pierre se caractérise par ses propriétés non gélives et par sa résistance à la taille. On trouve également ce type de pierre à La Jarrie, Lozay, Courant et Saint-Loup.
Le réseau routier est particulièrement développé. La route départementale 150, dont le trafic est évalué à 3360 véhicules/jour, constitue l'axe principal. Elle traverse le bourg sur un axe sud-nord. Les axes secondaires, notamment les routes départementales 210 et 107, desservent les communes proches (Lozay, Vergné, La Jarrie-Audouin et Coivert). La commune de Loulay est également desservie par la ligne de chemin de fer de Saintes à Niort.
La commune de Loulay, chef lieu de canton, dispose de tous les équipements publics modernes : scolaires (école maternelle, école primaire, collège), sportifs (terrains de sports, gymnase, piscine), culturels (foyer rural, bibliothèque), sociaux (centre communal d'action sociale, maison de retraite, Etablissement et Service d'Aide par le Travail), et administratifs (communauté de communes, Service Départemental d'Incendie et de Secours, gendarmerie nationale).


ValsdeSaintonge : (visit link)
Name: Loulay

Address:
place du general de Gaulle
Loulay, Nouvelle Aquitaine France
17330


Web Site for City/Town/Municipality: [Web Link]

Date of Construction: Not listed

Architect: Not listed

Memorials/Commemorations/Dedications: Not listed

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